Oui, le débat d'hier était assez minable - le nain commence à perdre pied, ou du moins en donne l'air. (bon Fabius, j'en parle pas, chez les socialos, c'est le bal des faux culs, sauf qu'à mon avis, leur mot d'ordre jusqu'en mai, c'est: "on fait front, on lâche rien, on aura tout loisir de se pourrir une fois l'autre mollusque élu"). Bref, et puis ces petites phrases pré-électorales et ces petits-coups bas sont tellement représentatifs de leur sens politique...c'est affligeant.
Bon, Melanchon...je suis assez dubitatif sur sa capacité à appliquer ce qu'il prône: la sortie de l'Euro, par exemple, ou le taux de taxation élevé. Enfin le personnage est trop arrogant parfois...
je ne suis ni pour, ni contre, bien au contraire...