KanguRaw a écrit :
Citation:
Les périodes de stabilisations coïtales sur fond de relation suivie et normalisée correspondent à une activité musicale moins dense et hardcore que les périodes d'études socio-démographiques hasardeuses à débouchés horizontaux ou avec hotesses commerciales à relation tarifée.
Je me permets de souligner ceci (d'ailleurs
je le fais) : cette phrase est tout simplement mythique !
J'approuve ton sentiment Kangu ! Du grand, du très grand Bassistuta !
bustyblonde a écrit :
Il n'y a pas de capotes pour l'esprit, que je sache…Bon. C'en est assez - je préfère poursuivre ce monologue avec le Paki de l'épicerie du coin…
Quant à la capote pour l'esprit de Busty alors là :
Pour revenir à ce que j'avais dit : j'ai eu parfois des périodes ou des moments de choix difficiles à faire. La difficulté c'est de ne savoir qu'après coup si ce choix était bon ou non. C'est bien tout le problème du dilemme : l'alternative entre deux possibilités toutes deux également frustrantes.
Ce que je voulais dire aussi c'est que faire un choix ne veut pas dire non plus : ne pas regretter ce choix.
Pour la musique au lieu de "plaisir" solitaire, c'est, fort heureusement, resté une passion. L'abandon temporaire ne visait qu'à digérer ma propre frustration, mais très vite j'y suis revenu.
Cependant il est vrai que dans les périodes de frustration et de "mauvaises passes" (à ne pas rapprocher des "
hotesses commerciales à relation tarifée" (sic Bass'), l'esprit créatif artistique semble se développer plus de mon côté de lorgnette. L'inactivité (quelle qu'elle puisse être) est aussi un facteur de créativité, ceci expliquant cela peut être.
Momo : une bière bien fraîche s'te plait !
La vache faut pas que les gratteux viennent ici, ils vont finir par croire que les bassistes en plus d'être des zikos, peuvent aussi être philosophes. Pas bon pour notre image ça !
Auto-banned volontaire de backstage.
Le ukulélé est à la guitare ce que le string est au caleçon.
(Thomas Fersen)