Alors, juste pour se cantonner à Trane Supreme...
...la grande lenteur de Naima...
...jeté à la rue avec les dauphins...
... encore ces adieux inachevés...
... ou cette vision du blues au partage...
...voire l'annonce faite à Ernie...
...enfin, parce que j'adore ces deux thèmes (pas si durs à jouer, en plus, transposés à la guitare), celui de la pêche et de l'appât...
...avant ce "I want to talk about you"...
Maintenant, s'il faut explorer d'autres voies telles que celles de Mac Coy Tyner, Ahmad Jamal ou Bill Evans... la joie y sera, le temps moins.
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.