Tiens, pas de topic sur Skindive ?
Qu'à cela de ne tienne.
Ca fait quelques temps que je connais ce groupe, mais ca ne fais pas longtemp que je l'ai rééllement decouvert ...
Dans l'album du meme nom (Skindive) se mélangent riffs metals (limite indus) et electro à la Massive Attack. Assez surprenante, la chanson "Space Age Lullabie" pourrait faire une excellente musique de modern Space Opera rappelant les compos d'Eric Serra pour le 5ème élément. "No More Good Guys" quand à elle, est un hommage à Sergio Leone.
Je vous colle un decriptif que j'ai trouvé sur le net, qui est assez veridique. Je vous recommende d'ecouter les chansons qui y sont citées
Citation:
Que connaissez-vous de l'Irlande ?
U2 ? The Corrs ? The Cranberries ? Désormais vous connaitrez aussi Skindive. Conduit par un ancien metalleux, Gerry Owens, ce groupe irlandais a misé sur des orchestrations originales alliant cordes et grosses guitares. Passionné par la musique de film (il rêve d'ailleurs d'en composer une) Owens nous emmène dans un univers aux mélodies proches du thème de James Bond. Les guitares donnent du rythme et de la profondeur aux compositions, les violons apportent une douceur fort appréciable, les cuivres rendent les morceaux plus puissants, les pulsations électro apportent une très appréciable touche moderne et la voix de Danielle Harrisson s'accorde magnifiquement aux chansons.
Les compositions énergiques ("Swallow", "Skindive") ou d'une sombre beauté ("Space Age Lullabie","No More Good Guys") font du premier album de Skindive un disque atypique et tout à fait recommandable!
"En fait on peut se demander si le mot 'télévision' est celui qui correspond à cette circulation extraordinaire, nouvelle, libre des images et des sons que l'on peut imaginer pour l'avenir. Tout ce que vous voyez arriver par le canal de ce câble, implique une participation active de chacun. Au fond, on ne trouve pas de mot. J'attend que des professionnels de la langue trouvent un mot nouveau qui définira très bien cette possibilité extraordinaire de circulation des informations."
Jean D'Arcy, 1969