room135 a écrit :
Les tables massives sont incomparables et offrent les sont les riches qui soient pour les archtops jazz, enfin c'est mon avis, mais je pense qu'il est partagé!
Mais pour diverses raisons économique et solidité Gibson à mis au point un contreplaqué multipli pour ces guitares archtop économiques, qui ce sont révélés interessantes d'un point de vue sonore...
Bien d’accord pour les raisons économiques.
Pour les raisons sonores, aussi, en relation avec le développement de l’amplification entre les années 30 et 50, voire 60 et la nécessité de maîtriser, outre les profits et les coûts de production, le phénomène du larsen/feedback très réactif ou très précoce avec une archtop handcarved, et j’en sais quelque chose, mamma mia
.
Pas du tout d’accord, tu l’auras compris
, pour le critère de solidité qui va à l’encontre de tout ce que je sais et apprend toujours des lutheries moderne et classique (notamment celle du violon que je citai tout à l’heure de manière très concertée).
Sans doute as-tu des sources susceptibles d’être échangées ?
Mes deux archtops handcarved (deux Gibson 66 et 69), en massif donc, n’ont strictement jamais bougé, tables, caisses, touches ou manches ; et, sauf à considérer les chutes ou accidents, je n’en ai jamais vu aucune, autour de moi, qui auraient connu des problèmes de structure au niveau de la table, pour se limiter à ce seul secteur.
Peut-être ai-je eu de la chance ?
Ou une mauvaise vue ?
Ce n’est pas le cas de certaines multiplis que j’ai pu croiser et qui ont mal vieilli (délaminages limités mais sensibles au niveau des ouïes et des insertions de bindings entre tables et éclisses, éclisses et dos, compressions du côté du chevalet, avec ou sans vibratos...).
Pour être à peu près complet, je n’ai évidemment rien contre les multiplis ; j’en possède trois, dont deux vieilles gamines, une ES345 de 1969 et une Hagström suédoise, Viking I de 1966, qui sont en revanche dans un état de conservation assez remarquable.
Ouf !