LE MODE IONIEN ET LE MODE PHRYGIEN ONT ETE INTERVERTIS

Rappel du dernier message de la page précédente :
Fast Fret
cool merci si le nom te revient .....
Invité
Fast Fret a écrit :
cool merci si le nom te revient .....

Je t'ai dit "sorti il y a un an...", ça fait partie des très nombreuses erreurs de mes post...
Le livre est sorti il y a 3 ans.
"L'oreille musicienne"
voici le lien
http://tostud.free.fr/absolue.html
parisian
Fast Fret a écrit :

tout d'accord ok ,pour le coté mathematique toute proportion gardé ,merci de preciser car ca m'aurait quand meme fait suer qu'on puisse pas affirmer que fonda + tierce min etait "plus triste" que fonda + tierce majeure....juste pour 2 notes quoi ,pas une melodie mineure ou majeure ,bref

D’accord avec vous pour la notion non absolue du mineur triste et majeur gai. En revanche je pense qu’un d’un point de vue culture occidentale on recensera une utilisation plus fréquente d’accords mineurs dans les mélodies mélancoliques que dans les gaies. Pourquoi ? un héritage qui s’est forgé petit à petit ?
zigmout
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faudrais verifié en fesant ecouter 2 morceau un min un maj a des gens de culture differente et voir mais pour ma part j'imagine que deja c'est du au fait que la tierce majeur est de maniere physique un intervale plus fort que la tierce mineur.
Mi est le 5eme harmonique de do alors que mib est super vachement plus loin..meme pas dans les 10 premier je crois...meme si effectivement notre temperement n'est pas exactrement celui de la physique c'est tout de meme pas trop loin.
Fast Fret
Pour ceux qui n'en ont jamais assez

http://fr.wikipedia.org/wiki/G(...)ienne

Bon perso j'ai commencé mais je n'ai pas fini de le lire.... j'en garde pour ce soir,j'ai du mal a trouver le sommeil cet an ci

C'est un angle que j'aime explorer,mais c'etait surtout pour le lien ,p'tet vous le connaissiez, mais bon je suppose que j'etais pas le seul a ne pas le connaitre......Euh par contre je suis p'tet le seul que ca interesse

Bah....
Invité
Ce qui est assez troublant avec le comma pythagoricien (et le zarlinien également), c'est comment un concept concret prendre sa source dans un raisonnement abstrait (ici raisonnement de fractions). On pose souvent le calcul des commas comme sur ce site, mais je préfère pour ma part exprimer le problème du comma à partir des PPCM et PGCD.

En fait, le calcul du comma n'est pas si compliqué. Il correspond à un niveau de quatrième. Sa formalisation générale est plus complexe, mais avec une calculatrice et un crayon de papier, on peut retrouver la valeur du comma.

Pour finir, il faut bien voir l'implication de la reflexion sur le comma : c'est le tempérament égal de la gamme, et donc la fin du modalisme traditionnel.

Cela signifie ,(et c'est une idée que j'aime bien), que les grandes avancées musicales prennent souvent leur source dans une avancée technologique. C'est une idée très anti-artitistique et dérangeante, mais qui interpelle le musicien qui ne jure que par le feeling.
On verra, par exemple, plus tard le développement du langage pianistique grâce au développement des technologies de fonte (et donc amélioration technologique du piano).

En ce moment sur théorie...