Allez une petite :
Le Pharaon dicte son courrier, et son scribe s'affaire sur la tablette de pierre, sur laquelle il grave les hiéroglyphes reflétant la pensée du souverain.
- Je veux... établir mes plans... dicte lentement le Pharaon, une garde personnelle.... des gardes du corps.... des jeunes hommes... dévoués, virils, farouches...."
Tout à coup les copeaux de pierre cessent de voltiger, et le scribe, tout en sueur, s'adresse respectueusement au souverain :
- Je vous demande humblement pardon, Votre Majesté, mais "viril", ça s'écrit avec une ou deux couilles ?
Tout est si simple et si facile quand on rêve. Comment ensuite continuer tout bonnement d'exister s'il n'y avait pas eu cette parenthèse....