Yanoo a écrit :
un sujet intéressant, mais je ne suis pas d'accord avec toi :
le proverbe dit justement le contraire : il fixe les limites sur la liberté entre chacun : "s'arrête où commence". Ca c'est une opposition mais c'est juste de l'écrire ainsi : c'est une relation entre deux individus.
En fait tu n'expliques pas le proverbe. La dictature n'est pas le sujet là : par contre si il n'ya plus de respect entre chacun du point de vue de la liberté dans ce cas il ya une certaine forme de totalitarime et de dictature si tu veux
Il faut répondre à un problème philo plutot que de le contourner
a plus !
Je n'essaye pas d'expliquer ce proverbe mais d'en démontrer la faille et de s'en méfier (comme de tout proverbe, expression figée ou slogan publicitaire).
Tu inclus dans ce proverbe une allusion morale ou ethique en parlant de respect. Désolé mais je ne vois pas où se trouve le respect dans cette phrase et je pense qu'elle pourrais être pronocée par un dictateur.
Je pense qu'une réponse à ce proverbe, s'il en fallait une serait celle de Bakounine (je cite de mémoire) : "La liberté des autres, loin d'être une entrave à ma propre liberté en est la continuité. Je ne peux être libre que si tous les hommes et les femmes autour de moi le sont également."
Bien entendu ensuite on peut débattre sur la notion même de liberté et ses implications morale qui doivent régir les relation entre les individus mais ceci est un autre sujet...