Blow Up a écrit :
Au delà des habituelles histoires de vieux cons/jeune cons (il y a peut être quand même une différence depuis Socrate, pour la première fois dans l'humanité, les jeunes cons n'ont plus d'avenir si ils suivent le modèle des vieux cons qui les ont précédés, c'est le no futur assuré).
Overdose d'homélies vaseuses sur la "valeur travail"
Qu'ils soient jeunes ou vieux, généralement les gens qui mettent le plus en avant la "valeur travail" ce sont ceux qui en foutent le moins. Pour la plupart des gens, le travail c'est pas une valeur, c'est une obligation et une contrainte (j'ai fait assez de tafs de merde pour payer mes études pour le savoir).
Ce qu'il y a de particulièrement insidieux et dégueulasse de la part des branleurs qui en foutent le moins, c'est d'utiliser la rancœur de ceux qui font des tafs de merde/difficiles pour les faire taper sur ceux encore plus dans la merde qu'eux (chômeur, précaires etc...). Pendant ce temps là, ils ne pensent plus a utiliser cette énergie pour améliorer leur salaire ou conditions de travail, vu que tout est de la faute des feignants/assistés/immigrés/jeunes/femmes etc... (rayez la mention inutile).
Le petit Attal en train d'éructer la bave aux lèvres sur le travail comme un bébé Sarkozy mal dégrossi c'en est l'archétype. Jamais travaillé de sa vie, pistonné depuis la maternelle jusqu'au cabinet d'une copine ministre à 23 ans avec des diplômes douteux, pour 6000 euros par mois, nourri, logé, blanchi avec chauffeur et secrétariat perso.
Ce serait presque burlesque ce type de personnage, avec ce type de discours, si ça n'allait pas mettre des millions de gens dans une merdre encore plus noire que celle dans laquelle ils étaient déjà.