Lose et littérature - Le journal d'un auteur sans succès

Fabienm
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    Fabienm
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J'aime beaucoup la "reverse" interview et le "BFR de l'écrivain", finalement beaucoup de similitudes avec le monde de la musique !!!
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Le Heyd
  • #3
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    Le Heyd
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C'est pas drôle et mal écrit mais sinon ça va ouais...
Fabienm
  • #4
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chix4free a écrit :
Fabienm a écrit :
J'aime beaucoup la "reverse" interview et le "BFR de l'écrivain", finalement beaucoup de similitudes avec le monde de la musique !!!


Salut Jean-Fabien, ça roule ?


j'aimerais bien être sans succès moi aussi, mais malheureusement je suis mondialement connu

j'aimerais aussi écrire, mais je ne sais que gratouiller

deux bonnes raisons pour lesquelles les femmes me fuient sans doute
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Fabienm
  • #5
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    Fabienm
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Le Heyd a écrit :
C'est pas drôle et mal écrit mais sinon ça va ouais...


ce doit être les raisons de son insuccès

va savoir
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ZePot
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    ZePot
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Fabienm a écrit :
deux bonnes raisons pour lesquelles les femmes me fuient sans doute

Pas assez riche ?
skynet
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  • #7
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    skynet
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Pourquoi ne pas mettre ça dans le topic sur la lose?...
Fabienm
  • #8
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    Fabienm
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oui, t'as raison, ça en fait donc 3

saloperie
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Fabienm
  • #9
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skynet a écrit :
Pourquoi ne pas mettre ça dans le topic sur la lose?...


c'est certes une forme de lose effectivement
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Bobo Parisien
Tout le monde s'en branle non ? de ce genre d'onanisme autofictionnel interchangeable de khâgneux de mes deux... et de ces pleurnicheries socio-équitables dignes des pires plumes de la presse féminine hebdomadaire...

Pour être signé dans une des trois grandes maisons parisiennes. C'est beaucoup plus simple que dans le disque, il suffit d'avoir un parent/pote/collègue ex-maoïste (ou de s'en taper un... mais y'a moins de garanties de résultat)
Les rentiers sont sympas
Fabienm
Bobo Parisien a écrit :
(...)
Pour être signé dans une des trois grandes maisons parisiennes. C'est beaucoup plus simple que dans le disque, il suffit d'avoir un parent/pote/collègue ex-maoïste (ou de s'en taper un... mais y'a moins de garanties de résultat)


ha cool, un peu de débat.

C'est plus compliqué que ça malheureusement. Oui, il y a une caste germano-pratine assez hermétique, mais être parent / pote de ne suffit pas. Contrairement au cinéma par exemple, tu as peu de "fils de" qui écrivent. Le truc plus classique par contre, c'est utiliser un nom pour vendre. Genre "Rama Yade"/PPDA, etc. et là tu utilises des nègres (qui sont de plus en plus feignants et font des jolis copier / Coller qui font des beaux procès par la suite).

Je crois si mes souvenirs sont bons que 97% des livres qui sortent sont le fait d'auteurs déjà édités ou de commandes (ie. je demande à un tel de m'écrire un bouquin sur ...).

Ce qui laisse 3% de livres de nouveaux auteurs inconnus et qui passent par l'envoi de manuscrit à des éditeurs.
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joeydeedeemarky
Bobo Parisien a écrit :
Tout le monde s'en branle non ? de ce genre d'onanisme autofictionnel interchangeable de khâgneux de mes deux... et de ces pleurnicheries socio-équitables dignes des pires plumes de la presse féminine hebdomadaire...

Pour être signé dans une des trois grandes maisons parisiennes. C'est beaucoup plus simple que dans le disque, il suffit d'avoir un parent/pote/collègue ex-maoïste (ou de s'en taper un... mais y'a moins de garanties de résultat)

je cite l'auteur :

"pour faire du cinéma faut coucher, .

Moi, j’ai été introduit, nuance."

voila ,un qui n'as pas honte de dire qu'il s'est faire mettre pour réussir....
Fabienm


oui, c'est tout le débat

faut-il coucher pour réussir ou réussir pour coucher ?


franchement... j'hésite
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caribou71
j'estime que si on réussit de coucher de temps en temps, c'est déjà pas si mal
Fabienm
peux-tu définir "de temps en temps" ?
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