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- Publié par
lemg le 19 Fév 2006, 15:21
C'était une formule.
Bien sûr que je compte dire ce que j'en ai pensé voyons.
Passons sur Villa vortex dont j'ai dû lire deux ou trois pages avant de contenir une furieuse envie d'apprendre au livre à voler. Je suis peut-être trop bête pour comprendre.
Alors j'en ai peu lu, c'est vrai, j'ai lu des nouvelles.
Je dois concéder qu'elles sont, comme on dit "plutôt pas mal", mais ça s'arrête là. Aussitôt lues, aussitôt oubliées.
Disons qu'en les parcourant, je me demandais ce qu'on peut bien lui trouver de si magnifique à Dantec.
Et puis - vous allez me descendre pour ça, mais c'est mon avis à moi que j'ai - il me rappelle la façon d'écrire d'un camarade de classe.
A savoir : "je viens de découvrir un nouveau mot, oulala qu'il est bien, il faut que je le case à tout prix dans la prochaine rédaction".
Et pour le caser, il le casait son mot, avec une finesse à faire peur.
Précision : nous avions douze ans.
Dantec me fait parfois cet effet, sauf que lui, ce ne sont pas de simples mots qu'il introduit à la truelle.
Et il a dépassé les douze ans depuis un certain temps.
Pourtant j'aime cette idée qui consiste à essayer d'introduire dans un récit des choses a priori incompatibes avec le dit récit. Mais JE n'aime pas sa façon de s'y prendre.
Sachant que ses histoires ne sont pas de celles qui m'emballent au premier abord (pour faire clair, elles ne me tentent pas), c'est au style que je m'en remets.
Et désolé, mais le style Dantec, c'est non.
Donc...
Il y a tellement d'autres auteurs que j'adore (français ou non, lisez Pelot ), ou que je veux découvrir que le Maurice se retrouve retrogradé loin derrière dans la file d'attente.
Bien sûr, évolution tout ça, ça peut changer. C'est mon avis pour le moment.
Et puis il ne peut pas faire moins bien que le Da Vinci code (j'ai tenu 50 pages ).
Enfin j'espère pour lui.