Svietkinala a écrit :
C'est pour ca que je dis que les patrons peuvent prendre qui ils veulent.
Maintenant les réflexions sur les couches sociales de la société,je pense que c'est un peu plus complexe que ce que tu racontes.
'entendu, vécu, vu, re-entendu, re-vecu et re-entendu et encore trois fois d'affilés que tu multiplie par un certain nombre oscillant entre 3 et 5...
Si tu veux, des branleurs blancs et aisés d'a peine plus de 20 ans qui ont pas branlé grand chose a l'école et qui ont déja un super taff' ou qui sont dans une super école a pas de prix a l'année j'en vois des légions. Par contre les surmotivés, basanés et pas aidés que j'ais fréquenté au collegelycée, les choix étaient pas énormes... loin de moi l'idée de vouloir devaloriser les professions manuelles (voir commerciales a trés moindre mesure), ils sont pour la plupart tous dedans... Avec qui? Les mêmes qu'au college.
Le tris commence en 4eme... c'est affolant comment, a mon époque, on proposait plus facilement les filières techniques aux arabes. Dans une classe, les blancs même du même milieu, on pouvait les compter sur les doigts d'une main. Qu'on vienne pas me dire qu'une certaine catégorie de personnes, selon leurs genes, sont plus aptes a travailler avec leurs mains que d'autres.
J'avoue, je m'occupe d'enfants et parfois d'ados en centre aérés, j'ais pu appercevoir que ca a legerement changé a ce niveau là aujourd'hui, par contre je vois tout les jours que l'hegemonie du piston, des relations et de la bonne tronche qui va avec la bonne situation ne failli pas le moindre du monde. C'est tout ce genre de choses qui créent des milieux bien délimités et difficilement pénetrables.
J'ais pas la prétention de resumer toute la mécanique des classes d'aujourd'hui, je fait seulement part de faits.