Neredev a écrit :
Déjà à la fin du Jam on sentait poindre la catastrophe à venir ("The bitterest pill...", 'fallait s'accrocher quand même.)
a town called malice c'etait la limite à ne pas franchir !
ça avait encore la patate, les textes, la diction argneuse (un peu) et musicalement
c'etait deja en train de basculer dans l'orchestration too much...
'ffectivement les beat surender & co c'etait la fin des haricots
comme le disait le frisé des tears for fears "kick out the style, bring back the Jam" !!
la guitare c'est de la merde !