Un peu de poésie!

Les gars, la je pleure.. sniff
(tout le monde deprime ici?)

je vois le style qui reigne ici, je me permet donc de poster une de mes oeuvres.

Tu fais meme pas la vaisselle
Et tu cuisine comme une brêle
Tu fais jamais le ménage
Tu risques pas le surmenage

T'arretes jamais de brailler
J'peux pas regarder la télé
Quand y'a le foot tu m'engueules
Tu veux une tarte dans la gueule ?


Poufiasse ! poufiasse ! poufiasse ! poufiasse !
Poufiasse ! poufiasse ! poufiasse ! poufiasse !
On se demande à quoi tu sers
si tu fais ni la vaisselle ni la bouffe
On se demande à quoi tu sers
faut meme que je te broute la touffe.


bon on est plus proche de Gronibard que de Baudelaire mais bon. A la base c'est une chanson je précise. Et une autre dans un autr genre :

Dégueulis intestinal
Vomissure prénatale
Foetus déféqué par le rectum
Purulence amère du scrotum

Déchirure des varices postaccouchement
Coulée de vomi rectal purulent
Anus moisi en décomposition
Muscle rectal en putréfaction

Bébé malformé à la naissance
Chair condamnée à la dégénérescence
Nidation de vers dans ses intestins
Ayant fait le voyage depuis le vagin

Découpe, déchiquette
Pourris, à la machette
Découpe, déchiquette
Pourris, à la machette

dans un style un peu plus carcassien donc. Notez tout de meme la poésie de l'image.

prout

tu a parfaitement résumé le topic.

C'est beau , j'en ai la larme a l'oeil Quelles références littéraires

Je suis sincèrement touché que ça t'aie plus. C'est vrai que quelque part, la beauté peut jaillir de la fange que peut ordinairement générer la lecture de cet amas de termes médicaux... Je trouve qu'au delà de l'outrance verbale ça accroche bien l'esprit.

Tu écoutes le vent chanter sous les branches
Tu l'entends siffler pour toi gentiment
Ton regard se perd dans l'écume blanche
Et ton esprit hère sur les terres d'avant

Tu rêves, paisible, tu retrouve ton enfance
Dans ton songes calme les émotions revivent
Les joies, les rires, les sons de l'innocence.
Les étés chaud et doux allongé sur la rive.

Le temps, traître, à effacé tout sa.
Et laissé à la place ride et cicatrice
Mais en bon rêveur tu n'en fait pas grand cas
Tu sais que le vent d'été te ramène las-bas
Dans tes rêves d'une paix qu'a jamais l'age brise.


Bon c'est du vite fais, je m'ennuis comme c'est pas possible aujourd'hui.

Sac à dos
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