Vous et l'alcool

Ouais voilà. Un concert (metal en l'occurence) c'est vraiment toute une ambiance, et la kro pression en fait partie... Et même si j'ai rien contre le coca, le verre de bière est moins cher.

Outre que je vomis en général le lendemain, mes amis - même si leur vie les a menés sur la voie honteuse des études informatiques - ont la décence de ne pas être sobres quand je suis torché ; et pour ceux qui, exceptionnellement, ne boiraient pas, il y a toujours les substances exotiques - consommées aussi par les alcoolisés d'ailleurs. Quant à ne pas être sur la "même longueur d'onde" que les autres, ce qui arrive beaucoup, c'est voulu : un ton méprisant teinté de couleurs alcooliques indique la limite à ne pas franchir dans la communion éthylique.

C'est beau, ce que tu dis...

Edit

moi je ne bois plus parce que:

1. Une cuite mémorable assortie d'un coma éthylique a fait que le gout de l'alcool m'est devenu intolérable. Avec beaucoup d'effort, j'ai pu a nouveau déguster des bières de 10/12%, mais pas plus.

2. du coup l'alcool me rend rapidement malade. Une bière et j'ai la gerbe. C'est foutrement désagréable.

Celà étant dis moi il est hors de question que je me retrouve à nouveau à être le seul sobre d'une assemblée d'alcoolique. Voir des mecs se gerber dessus et raconter des anneries est beaucoup moins drôle quand on est sobre soit même. J'ajoute que si tu va à ces soirées pour rire au dépend de tes amis, tu as loupé une partie du côté fraternel qui fait tout l'interêt des beuveries q:

J'ai fait mienne cette citation : "je bois pour rendre mes amis intéressants".

Boire, ok, mais de là à vomir... A 33 ans on connait ses limites non ? Ca fait des années que je n'ai pas vomi.

Avec les années j'encaisse plus de quantité, je ne vomis plus et je me réveille en forme le matin... Le destin veut que je devienne alcoolique, heureusement ma raison est plus forte (ma gonzesse aussi...)

Ah tiens, ça me rappelle il y a trois ans, quand j'ai pris une cuite sévère en me sifflant une demi bouteille de whisky, idem de vodka, ainsi que de la manzana (me rappelle plus la quantité), le tout en compagnie de gens que je connaissais pas (à part une personne qui m'avait invité).

Parait que j'ai impressionné tout le monde... En tout cas j'ai pas pu renifler une goutte de whisky pendant six mois, l'odeur de la manzana me donne désormais la nausée, je ne bois plus de vodka qu'avec une dose massive de jus de fruit dedans, et je n'ai jamais été saoul depuis.

Moi c'est largement le contraire.
Si aujourd'hui je me mettais dans le cornet ce que j'ingurgitais quand j'étais étudiant, je pense que je mettrais facilement une semaine à m'en remettre, alors qu'il y a 15-20 ans ça repartait dès le lendemain.

Ca dépend. Il faut savoir apprécier ;-)

Ce qui est amusant, c'est de voir à quel point l'alcool est loin de rendre ceux qui en prennent aussi amusants/spirituels/créatifs... qu'ils le pensent.
L'alcool ne rend pas intelligent ;-)


J'en reviens toujours au même point : si mes "amis" ont besoin de boire pour devenir fraternels, ce ne sont pas des amis. ;-)
Et de façon générale, si mes amis ont besoin d'être bourrés pour être intéressants, je préfère en chercher d'autres ;-)

Mais bon, ce n'est que mon point de vue. Je suis par contre très tolérant, chacun fait ce qu'il veut et je ne veut convaincre personne.

Le point positif, c'est que ca fait vachement plus de coca pour moi dans ces soirées-là. Sauf quand il y en a qui le sabotent en mettant du whisky dedans

Il n'y a pas de rapport : quand l'occasion de s'alcooliser se présente, je bois tant que les rations et que ma conscience le permettent. C'est pourquoi je n'ai jamais de bouteilles d'alcool chez moi : je n'en achète que sur le moment.

Dans quel but ? Etre bourré c'est bien, mais être malade n'est pas une sensation agréable.

Disons qu'avant c'était plus les charges aux substances euphoriques, l'alcool est arrivé plus tard.

Disons que, dans ma recherche de l'ivresse, l'exigence d'alcoolisation augmente à chaque verre. Puis je ne tiens pas trop mal et ne déteste pas être plié en quatre le lendemain. De toute façon, la question ne me concerne plus vraiment, étant pour l'instant au chômage technique.

Boire ou choisir ... il faut conduire !

Heu... j'ai bon ?