Neredev a écrit :
Dois-je rappeler ma propension à raconter des conneries et à développer des idées absurdes quand je commence à être ivre?
Bon je viens de finir de rédiger ça. Ça m'a pris vingt minutes, alors merde:
Gougnafier a écrit :
c'est peut être que je l'aime bien, et que ça me fais mal au coeur de le voir se détruire comme ça.
et effectivement ce n'est pas dans le post que je cite que je vais chercher mes "critères", j'ai lu plusieurs pages d'un coup, sorry ça m'a énervé.
Je ne le connais pas, mais il fait en tout cas partie des membres dont je lis volontiers les interventions, d'après mes souvenirs.
…Je trouve que c'est une bonne chose de pouvoir fermement contester un message sans que cela ne mène fatalement à un conflit. Moi qui croyais avoir trouvé le con avec qui me clasher ce soir en écoutant du death… me suis trompé!
Subjectivement:
— l'alcool est un moyen rapide pour combler un vide émotionnel, métaphysique… j'ai dû maîtriser un ami en pétage de plombs alcoolique la semaine passée et ai été rendre visite à un autre en section alcoologie la semaine d'avant. Et d'avant.
— dans mes amis, les seuls à être vraiment à l'abri de problèmes d'addiction en tout genres, ce sont ceux avec une famille intacte, heureuse qui ne souffrait d'aucun problème de communication. Des parents à l'écoute des problèmes et surtout des aspirations propres à leur enfant.
…
Ce que je veux dire, c'est que la théorie la plus plausible sur la raison d'abus probable de drogues à l'âge adulte que j'ai pu entendre jusqu'à présent, est celle d'une pauvreté émotionnelle et de communication pendant la croissance (de l'individu, pas du PIB, je vous vois venir).
