Un Jack White un poil caricatural dans son rôle de valeureux chevalier de l'analogique.
Le petit complexe du citadin de Detroit qui se plante dans le Tennessee au milieu des vaches dans une cabane délabrée, ça fait quand même sourire un peu.
L'idée de traumatiser un gosse en le forçant à écouter Jack White hurler et cogner sur un piano est séduisante, ça m'a bien fait rigoler.
Son truc avec la bouteille de coca, c'est de la pause bien sûr, venant de la part d'un véritable fétichiste du vintage (Kay, Gretsch, Coronado, etc), d'un maniaque, c'est cramé.
Maaaais c'est amusant, bon, bon, oui c'est amusant.
C'est quand même le zigue que je préfère des trois.
Page est mignon avec sa bouille de vieux chamane cherokee, tout ému quand il écoute Rumble, ce petit moment m'a touché, plus que le Whole Lotta Love très convenu et attendu.
Sinon il faut bien le dire, il y a beaucoup de passages qui m'ont pas mal fait chier.
«Une polémique dite courtoise est un duel avec des épées mouchetées.» (Léon Daudet)
Raw Section.