Le publique est venu nombreux, il faut dire que c'était gratos, il fait beau, c'est l'été et puis en France on aime plus le foot depuis 2002 (et encore moins depuis hier).
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Certains étaient venus dans l'espoir de rester assis (j'en connais même une qui avait ramené sa serviette... :sol: ), après 3 secondes, tout le monde est debout, et le ton monte rapidement sur fond d'harmonica.
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Première réaction, le bassiste n'est pas venu pour faire de la figuration, je l'avais déjà vu une fois et il assure vraiment, se prend un petit bain de foule, fait des blagues d'un goût douteux
. Pas de photo bien de lui malheureusement, la star reste Louis, qui prend son temps pour boire son coca entre deux morceaux, "en attendant la nuit".
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Le concert commence donc par quelques morceaux du groupe, avant de faire grimper la température sur un petit cendrillon de 15 minutes (
extrait cendrillon (300mo désolé mais je compresse pas sinon le son est pourri)) avec coupure du son général (merci à l'organisation :jap: ), avec à la clé un medley de "so lonely". L'heure est au reggae et je profite de la préstation pour m'improviser en tant que bootleger, filmant cendrillon, avant que le carosse ne se transforme en citrouille après 4 minutes (mémoire full :sweat: mais extrait au dessus). Catastrophe, je supprime tout ce que je peux. Pendant ce temps pas de répis, Louis et sa bande mettent le feu au parc Heller.
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Et le publique s'enflamme de plus en plus, avec notamment un excellent "longtemps" malgré l'absence de Carla Bruni indisponible pour cause de "chiasse" (sans commentaire... :heink: ). Ensuite vient le temps des reprises, quelques beatles passent un peu inaperçus, on se dit vivement que ça s'arrête, mais c'était sans compter sur un divin Won't get fooled again ("yeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeaaaah!!!!!") de 15 minutes et c'est parti pour le show ( :pfff: ...je sors...), un petit riff heartbreaker de led zep bien senti et quelques bons solos pour pimenter le tout.
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Le tout avant une conclusion en apotéose sur quelques vieux titres de téléphone (ça suivi d'un autre monde), avec deux ou trois feintes de sorties. Le tout bouclé par une sublime coupure de son (encore une :fou: on se demande si c'est pas Antony qui le fait exprès pour que les maccabés puissent dormir).
Pour ceux qui ne l'ont pas compris donc, c'était du très bon Louis Bertignac, on regrette simplement la fin en queue de poisson...