- morko
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Voici une traduction tirée de : http://news.bbc.co.uk/hi/russi(...)9.stm sur l'événement du 7 mai à Moscou.
"Après que Howe est sorti sur la scène de la MCP (maison centrale des peintres) et s'est lancé dans un truc proche de la vitesse de la lumière, une explosion d'applodissements a retenti.
A peine le calme revenu, les questions ont fusé : quelles cordes et amplis vous utilisez, comment vous jouez tel passage, combien de temps consacrez-vous aux exercices par jour ?
Howe montrait lentement certains passages, tentait de se souvenir des solos demandés par les auditeurs, copiait le jeu d'autres guitaristes, ne laissait aucune question sans réponse.
"Ces derniers temps je joue peu, une heure par jour (vent de défiance dans la foule), avant les concerts ne bois pas, mais après j'aime bien boire un coup (c'était la meilleure des questions selon Greg et son auteur a gagné un T-Shirt), je joue pas de staccato, bien que je puis le montrer, je m'incline devant Scofield et Henderson", disait le musicien.
Entre les réponses et les démonstrations, Howe exécutait ses nouvelles compos, parfois avec un accompagnement enregistré sur CD.
On a su plus tard que la batterie avait été enregistrée par lui sur une Alesis (DR-16). A la question de jouer un solo de "Five" Howe a avoué qu'il ne s'en souvenait plus, comme bien d'autres.
"De toute façon, quel intérêt de s'en souvenir, ils sont tous pareils" a avoué le musicien.
Un auditeur a avoué au virtuose avoir trouvé note pour note un morceau (rire dans la salle) "mais un fragment en pizzicato ne sort pas" (encore plus de rire), pourriez pas montrer ?"
"Il faut que j'écoute votre jeu. Enregistrez le et envoyez moi la K7", a répondu sous les rires Greg, non sans sourire.
Le public a quitté cete démonstration complétement démoralisé, en se demandant si qq arriverait à jouer aussi bien en Russie un jour. Le lendemain, ils ont pu se faire une raison lors de la séance de dédicaces dans l'un des magasins de musique de Moscou.
"Après que Howe est sorti sur la scène de la MCP (maison centrale des peintres) et s'est lancé dans un truc proche de la vitesse de la lumière, une explosion d'applodissements a retenti.
A peine le calme revenu, les questions ont fusé : quelles cordes et amplis vous utilisez, comment vous jouez tel passage, combien de temps consacrez-vous aux exercices par jour ?
Howe montrait lentement certains passages, tentait de se souvenir des solos demandés par les auditeurs, copiait le jeu d'autres guitaristes, ne laissait aucune question sans réponse.
"Ces derniers temps je joue peu, une heure par jour (vent de défiance dans la foule), avant les concerts ne bois pas, mais après j'aime bien boire un coup (c'était la meilleure des questions selon Greg et son auteur a gagné un T-Shirt), je joue pas de staccato, bien que je puis le montrer, je m'incline devant Scofield et Henderson", disait le musicien.
Entre les réponses et les démonstrations, Howe exécutait ses nouvelles compos, parfois avec un accompagnement enregistré sur CD.
On a su plus tard que la batterie avait été enregistrée par lui sur une Alesis (DR-16). A la question de jouer un solo de "Five" Howe a avoué qu'il ne s'en souvenait plus, comme bien d'autres.
"De toute façon, quel intérêt de s'en souvenir, ils sont tous pareils" a avoué le musicien.
Un auditeur a avoué au virtuose avoir trouvé note pour note un morceau (rire dans la salle) "mais un fragment en pizzicato ne sort pas" (encore plus de rire), pourriez pas montrer ?"
"Il faut que j'écoute votre jeu. Enregistrez le et envoyez moi la K7", a répondu sous les rires Greg, non sans sourire.
Le public a quitté cete démonstration complétement démoralisé, en se demandant si qq arriverait à jouer aussi bien en Russie un jour. Le lendemain, ils ont pu se faire une raison lors de la séance de dédicaces dans l'un des magasins de musique de Moscou.
