Pour ceux qui connaissent le virtuose français, voici les dernieres news de sa maison de disques, NTS
En France, comme au Japon, il est clair que "Sanctus Ingis", le premier album d'ADAGIO a révélé les incroyables talents du guitariste Stephan Forté. Excellent musicien, maîtrisant parfaitement sa sept (!) cordes, le jeune français est également un redoutable compositeur dont le seul objectif semble être d'enchanter les oreilles des auditeurs avec des pièces de "metal symphonique" que certains grands chefs "classiques" n'auraient pas renié s'ils avaient vécu à notre époque. Plus sombre et plus profond que son déjà brillant prédécesseur, "Underworld" est un grand pas en avant pour Stephan, qui, toujours soutenu au chant pas un étonnant David Readman (Pink Cream 69), a su digérer ses influences pour nous offrir un incroyable opus, où riffs et solos font excellent ménage avec les choeurs enregistrés avec les 50 voix de l'Ensemble Vocal de Lyon. A la basse Franck Hermanny est fidèle au poste, tout comme Dirk Bruinenberg (ex-Elegy) à la batterie, même si celui-ci a été remplacé par Eric Le Bailly juste après l'enregistrement. Finalement c'est du côté des claviers que l'on n'hésitera pas à souligner le changement le plus notable, avec l'arrivé de Kevin Codfert, dont la dextérité risque d'en époustoufler plus d'un.
Avec un deuxième disque et des musiciens de ce calibre, il est clair qu'ADAGIO est plus que prêt à prendre d'assaut les scènes de France et du reste du monde, chose qui sera faite dés le mois de novembre prochain avec deux festivals suivis en février 2004 par une tournée qui ne visitera pas moins de 10 villes de notre pays et dont nous sommes heureux de vous annoncer les dates ci-dessous :
08/11/03 : Montereau (77) / Festival avec KOB, Falkirk.
28/11/03 : Bergerac / La Rock' sane
En France, comme au Japon, il est clair que "Sanctus Ingis", le premier album d'ADAGIO a révélé les incroyables talents du guitariste Stephan Forté. Excellent musicien, maîtrisant parfaitement sa sept (!) cordes, le jeune français est également un redoutable compositeur dont le seul objectif semble être d'enchanter les oreilles des auditeurs avec des pièces de "metal symphonique" que certains grands chefs "classiques" n'auraient pas renié s'ils avaient vécu à notre époque. Plus sombre et plus profond que son déjà brillant prédécesseur, "Underworld" est un grand pas en avant pour Stephan, qui, toujours soutenu au chant pas un étonnant David Readman (Pink Cream 69), a su digérer ses influences pour nous offrir un incroyable opus, où riffs et solos font excellent ménage avec les choeurs enregistrés avec les 50 voix de l'Ensemble Vocal de Lyon. A la basse Franck Hermanny est fidèle au poste, tout comme Dirk Bruinenberg (ex-Elegy) à la batterie, même si celui-ci a été remplacé par Eric Le Bailly juste après l'enregistrement. Finalement c'est du côté des claviers que l'on n'hésitera pas à souligner le changement le plus notable, avec l'arrivé de Kevin Codfert, dont la dextérité risque d'en époustoufler plus d'un.
Avec un deuxième disque et des musiciens de ce calibre, il est clair qu'ADAGIO est plus que prêt à prendre d'assaut les scènes de France et du reste du monde, chose qui sera faite dés le mois de novembre prochain avec deux festivals suivis en février 2004 par une tournée qui ne visitera pas moins de 10 villes de notre pays et dont nous sommes heureux de vous annoncer les dates ci-dessous :
08/11/03 : Montereau (77) / Festival avec KOB, Falkirk.
28/11/03 : Bergerac / La Rock' sane
Listen, smile, agree, and then do whatever the fuck you were gonna do anyway.
