Le Corbusier a écrit :
rapideyemove a écrit :
J'ai presque envie (c'est un projet) de demander à Sébastien de m'en faire une autre, en Gold, avec l'accastillage argent et de beaux pontets en laiton, une touche maple, [...]
Alléluia ! Liberace n'est pas mort !
J'espère que pour être raccord, tu auras le bon goût d'y coller des repères de touche blocks black pearl, des repères de bord de touche en vrais faux diamants, des boutons de mécaniques en nacre, un pickguard abalone et des boutons de potards incrustés d'opales. Et des cordes plaquées or, of course.
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Brave homme. Cher brave homme. Vous me réjouissez.
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Déguisé en héros du café du Commerce. À l'haleine chargée.
Reliquée. Quoique ce terme, ce serait faire un mauvais procès.
À bien y penser, le déguisement ... ? Oui, votre déguisement...?
Ça, pour le coup, je ne ne suis plus aussi sûr.
Rassurez–vous, cher, la haine toute petite me distrait.
Maintenant, pour la caricature vous ne pouviez pas mieux faire ?
Cela bat le vide de ses petites mains. Et le hochet est trop loin.
Au plus vrai, je n'attendais rien. Mais je pouvais espérer mieux.
Là c'est un peu commun, pareil au lieu du même nom, ou à un autre qu'on nomme le "lieu d'aisance" avec son «
noir corselet velu de mouches éclatantes. Qui bombinent autour des puanteurs cruelles».
Je vous rassure une dernière fois, cette citation n'est pas de moi.
Sa relique est toute naturelle.
Allez, distraitement, "
je vous prends sur le temps", comme on dit en escrime.
Et, pour la cible manquée, vous laisse la corvée d'essuyer votre lunette.
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.