Le Telecaster player's club

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Zorzi
  • Zorzi
  • Vintage Top utilisateur
On la voit à peine dans son entier… Mais au début on voit bien qu'elle n'a de Tele que le nom celle-là aussi. Je ne suis pas fan du tout.
rapideyemove
L'hérétique, la profane, la sacrée.

It´s just a way to christen, or not.


«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.
Oghkhood
Manche et corps en cedre avec touche en boulot .... pas courant.

Mais j'y vois un bon pied de nez aux experts es lutherie sans y toutcher
On dit d'un fou qu'il a perdu le sens de la realité.

Alors que dire des gens qui confondent :

- La colere et la haine
- Le respect et la crainte
- L'offense et la peur
- La vérité et la croyance
- Le savoir et l'information
- L'amour et l'envie
- Etre et avoir
rapideyemove
Bon, comme je le disais auparavant, va sans doute falloir que j'essaie un autre bloc pontet que l'actuel à 6 pontets, avec des vis de réglage vertical un peu hautes et agressives qui gênent un peu ma position main droite (voir photos page 802, je crois).
Donc, des solutions côté pontets classiques (3) en laiton, offrant une certaine compensation ou autres solutions efficaces et intelligentes...

Vraisemblablement, il va me falloir aussi, une électronique qui permette notamment une progressivité et un contrôle plus satisfaisants de la tonalité.

Donc si vous avez des conseils et des pistes prometteuses, motivées et musicales, oui, ça je veux bien.

Ça fera quelques centaines de pages à feuilleter en moins .
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.
bullfrog
rapideyemove a écrit :
Bon, comme je le disais auparavant, va sans doute falloir que j'essaie un autre bloc pontet que l'actuel à 6 pontets, avec des vis de réglage vertical un peu hautes et agressives qui gênent un peu ma position main droite (voir photos page 802, je crois).
Donc, des solutions côté pontets classiques (3) en laiton, offrant une certaine compensation ou autres solutions efficaces et intelligentes...

Vraisemblablement, il va me falloir aussi, une électronique qui permette notamment une progressivité et un contrôle plus satisfaisants de la tonalité.

Donc si vous avez des conseils et des pistes prometteuses, motivées et musicales, oui, ça je veux bien.

Ça fera quelques centaines de pages à feuilleter en moins .


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Thank heavens the Ampeg doesn't sound like a Deluxe Reverb!
rapideyemove
bullfrog a écrit :
rapideyemove a écrit :
Bon, comme je le disais auparavant, va sans doute falloir que j'essaie un autre bloc pontet que l'actuel à 6 pontets, avec des vis de réglage vertical un peu hautes et agressives qui gênent un peu ma position main droite (voir photos page 802, je crois).
Donc, des solutions côté pontets classiques (3) en laiton, offrant une certaine compensation ou autres solutions efficaces et intelligentes...

Vraisemblablement, il va me falloir aussi, une électronique qui permette notamment une progressivité et un contrôle plus satisfaisants de la tonalité.

Donc si vous avez des conseils et des pistes prometteuses, motivées et musicales, oui, ça je veux bien.

Ça fera quelques centaines de pages à feuilleter en moins .


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Mais encore ?
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.
Le Corbusier
rapideyemove a écrit :
bullfrog a écrit :
rapideyemove a écrit :
Bon, comme je le disais auparavant, va sans doute falloir que j'essaie un autre bloc pontet que l'actuel à 6 pontets, avec des vis de réglage vertical un peu hautes et agressives qui gênent un peu ma position main droite (voir photos page 802, je crois).
Donc, des solutions côté pontets classiques (3) en laiton, offrant une certaine compensation ou autres solutions efficaces et intelligentes...

Vraisemblablement, il va me falloir aussi, une électronique qui permette notamment une progressivité et un contrôle plus satisfaisants de la tonalité.

Donc si vous avez des conseils et des pistes prometteuses, motivées et musicales, oui, ça je veux bien.

Ça fera quelques centaines de pages à feuilleter en moins .


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Mais encore ?

Lis les centaines de pages du topic ou utilise la fonction recherche.
Tout le monde le fait. Pourquoi pas toi ?
David Watts
T'es rancunier l'ami...
"Yesterday today was tomorrow and tomorrow today will be yesterday"
Le Corbusier
Non. L'incident est clos.
Qu'il pose une question technique, ok. Mais qu'il ajoute que c'est parce qu'il ne veut pas se taper la recherche, c'est moyen.
Par ex., quand un nouvel inscrit se pointe sur g.com et crée un topic pour poser une question à la con sans avoir pris la peine de chercher, tout le monde l'envoie paître.
Tux87
  • Custom Supra utilisateur
Ce topic était sympa, les forumeurs qui participaient étaient sympa, ça chambrait un peu mais toujours dans la bonne humeur, ...
Le Corbusier
daoudd
  • Custom Top utilisateur
son numéro de série laisse songeur :



un magasin où il ne faut pas mettre les pieds ...

"L'histoire, c'est un conte de faits..."
daoudd
  • Custom Top utilisateur
je me suis fait malheureusement la même réflexion.

le mythe on dira...

"L'histoire, c'est un conte de faits..."
rapideyemove
Devant le temple, profane, je vous laisse et n'ai plus qu'une frivolité à faire valoir : celle d'accompagner mes hérésies vers mon silence, en ce lieu–ci.

Je vous laisse entre gens du même monde.
Et c'est bien dommage, je le concède aisément, d'être obligé de dire cela, de le reconnaître même.
Vu la valeur et la loyauté de bon nombre d'entre vous, sans doute.
Sans doute, aussi de ce pas, le fait de s'exprimer ainsi aura pour conséquence immédiate de faire croire qu'en vous laissant, je tente de me concilier la bienveillance de cet auditoire.
Il n'en est rien.

Au premier chef, parce que je me fais une idée bien plus humble de ma petite personne. Que cela vous surprenne, ou pas.

Et, ensuite, parce que mes interventions, motivées au départ par deux choses (un ou deux conseils demandés, ainsi que la loyauté mise à défendre le travail irréprochable, élitiste autant que proche et modeste d'un jeune luthier des Vosges...), répétées ici–même avec une opiniâtreté dont chacun aura pu se rendre témoin ; parce que ces interventions, n'ayant rien rencontré en retour, se sont finalement réduites à quelques cercles infimes dans l'eau où ma parole anodine s'était égarée, ou plutôt était tombée comme un caillou dans cette eau profonde et sans écho, sans appel.
Alors qu'elle pensait, avec naïveté, et sans fracas, être propre à y ricocher, entre deux rives.

Chacun aura pu, j'espère, se faire une idée de mes interventions très récentes sur ce topic, à moins qu'une agora, si tant est qu'il y ait eu matière à se donner cette peine.

L'indifférence pouvait suffire. Et se conjuguer au silence.

Mais, je n'ai pas pour ambition de me livrer à l'épuisement de défenses incessantes contre la mauvaise foi et le mépris, où parfois l'intelligence, ne tenant plus la toile, devient un argot de badaud.
Seulement m'en divertir.

Je ne développerai pas ce dernier point. Cela aurait pourtant valu la peine...
Et certains de se dire, voire de vociférer sans nuance, à ce moment : « Heureusement ! ».
Or la fatigue, et quelques “intimités” personnelles qui n'ont pas lieu d'être partagées et mises ici à l'encan, justement, m'auront finalement dispensé d'aller plus loin dans ce petit alentour.

Chacun aura pu se rendre compte où était l'argot de l'invective, ses attendus, comme sa généalogie haineuse, et j'espère inconsciente.

Il faudrait un tout dernier mot, il en faut toujours un, pour effacer les effets de cette tonalité un tant soit peu élégiaque, ou maladroitement funèbre, qui n'a déjà que trop duré.

N'en doutez pas, je me suis surtout amusé et distrait en ces lieux.

Même si je sais résolument aussi n'être pas entendu. Enfin, c'est ce que je me figure par une légèreté qui n'est pas sans force.

Je pouvais choisir de me taire, ou courber l'échine avec volupté.

Or, j'ai choisi cette voie, que je vous abandonne ici et maintenant, de tenir parole dans tous ces messages passés, présents et, allez savoir, à venir et de m'exprimer d'une manière qui ne soit pas ma voix, qui ne sacrifie jamais rien, ou aussi peu qu'il est possible, à la complexité.
Comme s'il fallait “bavarder” avec autrui en se donnant toujours cette commodité et cette lâcheté de ne lui adresser la parole que d'une voix brouillonne et si peu attentive à lui, finalement.
De céder encore une fois « à l'universel reportage», ainsi que le prétendait Stéphane Mallarmé.

En dire plus, ce serait en dire beaucoup moins.

D'un geste donc, ma parole aura tenu, je crois, jusqu'au bout parole.
D'un geste donc, et sans l'aide de ce que je ne résiste pas à l'ironie d'appeler des icônes, non pas des smileys, avec l'ombre d'un sourire cependant, étonné et vague, devant la disproportion de ce que je conclus ici d'un point.

À la ligne.
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.

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