flegal a écrit :
Citation:
je pencherai plus pour un régulateur de tension (6V DC pour chauffage filaments, par exemple) ; à confirmer.
Vi, un régulateur variable me semble le plus probable : on a toute la glue autour (diodes, condos, etc.) et un trimmer pour le réglage de tension.
C'est du TO3 en général capable de passer 1,5 A sans problème, monté ici avec un gentil radiateur qui doit faire 50°/W, donc on peut tirer proprement 1,2 A en restant à des températures acceptables si le régul n'a pas à trop tomber de tension.
Les tubes de puissance sont chauffés en alternatif (marrant qu'il me semble bien que les lignes de chauffe sont des bus et non du rigide torsadé, ça peut ronfler un chouille), il y a 6 x 12AX7 ou équivalent en pré, on doit sucer 1,8 A en 6,3 V - au dessus de ce que le régul peut passer - et 900 mA en 12,6 V - pile poil pour quelque chose de bien foutu
C'est pourquoi je me dis qu'on est genre LM117 réglé en 12,6 V (6,3 V - masse virtuelle ou non - 6,3 V). Ou alors c'est uniquement pour du service, genre quelque chose comme du 12 ou du 15 V pour des trucs en silicium et/ou de la commutation.
Comme je n'ai pas le schémou et que le cuivre est du double face très bien foutu (on est loin des chinoiseries habituelles), difficile d'aller plus loin.
on voit un peu plus bas un autre régul plus léger (boitier TO220), perso je dirais que c'est ce dernier pour les servitudes (surtout que j'ai vu de relais nulle part, pas de servitudes puissantes dans le bestiau...)
Moi chuis plus intrigué par le chip au milieu/bas de la plaque, je vois pas trop à quoi il sert dans un engin tout analogique.... quelque chose à voir avec les optos peut-être?