caribou71 a écrit :
Bref, seron
T les fesses.
Elles seront quoi, les fesses, Carib' ?
Endolories ? Closes ? Hospitalières ?
Je crois que l'idée était là.
Mais la phrase n'aura pas suivi la pensée.
Comme la voie perdue dans la neige, le vent, et la glace.
Et, dis–donc, Mr.
Woodland Rangifer Tarandus, ça va être long ?
Mais, sait–on jamais ...
...oui, sait–on jamais ?
From Love, as usual.
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.