Beurp's a écrit :
Dans l'absolut (au delà de la poliakov)...beurp's...je conseille quand même a grasshopper un régime pamplemousse, et une visite chez le barbier...la moustache OK, mais le bouc d'informaticien...je dis non !
Ca me fait plaisir que tu te fasses du souci pour ma santé et mon apparence physique, l'ami. Pour ta gouverne, sache que je ne porte plus le genre de bouc que tu décris depuis au moins dix ans. Mais comme j'imagine que c'est mon avatar qui t'as induit en erreur, je vais l'enlever, histoire que tu puisses poser tes yeux ailleurs, vieux dégueulasse ...
Pour en revenir au sujet, je crois que Debal a raison, je ne sais pas ce que c'est qu'un punk mais je crois qu'il y a aussi une bonne raison à cela. Les punks, pour peu qu'ils aient vraiment existé (j'ai vu des photos, mais bon ...) ne courent plus les rues. Ou pire, ils sont tellement partout que ça n'en a plus de sens ... dans les rues des villes du Sud de la France, buvant du Calimucho en compagnies de chiens qui puent; dans les centres commerciaux, à la recherche du dernier Green Day avec des Vans slip-ons aux pieds, dans un bar du dix-huitième à regretter le bon vieux temps du Palace et des Stinky Toys ... que chacun de ces specimens se croit plus authentique que l'autre m'est fort bien égal en fait.
Quoi qu'il en soit, le discours de GuitarBizNess visant à regretter la fin des grandes utopies me fait bien marrer, quand on voit où elle nous ont mené. Le fait qu'on puisse porter aux nues un mec dont les seuls faits d'armes sont d'avoir massacré "My Way" et buté sa régulière, un type que Johnny Rotten a toujours considéré comme un crétin (au mieux), est tout aussi risible.
Quant aux anarchistes, je ne dirai rien si ce n'est que je préfère encore ceux de droite ... généralement, ils ont un peu de culture (Beurps, tu ne vas pas me contredire AUSSI là-dessus?).
"Il n'y a pas d'autre moyen que de faire l'animal (grogner, fouir, ricaner, se convulser) pour échapper à l'ignoble : la pensée est parfois plus proche d'un animal qui meurt que d'un homme vivant." G. Deleuze, F. Guattari