Le problème, ce sont des logiques (enfin des intérêts c'est pareil dans un environnement de gouvernance actionnariale) industrielles qui ne veulent pas bouger.
L'avenir de la voiture électrique, c'est la roue motrice avec moteur intégré (avec ça, on évacue les contraintes de transmission, donc des dizaines de pièces mécaniques importantes en moins. Comparé a un moteur central sur une production à grande échelle, et une gestion plus intelligente et moins énergivore des batteries, ça coûte 10x moins cher à produire, c'est plus fiable, avec pleins de fonctionnalités comme gérer le différentiel sans mécanique etc... . Plus besoins de mécanos en cas problème, tu changes la roue qui déconne ou tu la recycles et c'est bon ).
Mais bon même si c'est mieux, on va pas lâcher le moteur central, les actionnaires vont pas être contents. Allons plutôt faire du lobbying pour l'hydrogène. Niveau industriel c'est pas viable avant longtemps, ça va nous permettre de refourguer nos très mauvais moteurs électriques et nos très mauvaises batteries pendant encore quelques décennies (avec bénéfice subventionnés par de l'agent public comme d'hab). Et ça donnera du grain à moudre aux amateurs de V8 et de moteurs mazout. Bref, diviser pour mieux renter du cash.