syle 7 a écrit :
Tiens ?
En lisant, je n'ai pas eu l'impression que quelqu'un soit allé sur ce terrain, mais plutôt qu'il s'agissait d'une mauvaise interprétation. J'ai peut-être pas remonté suffisamment de page...
Oui et non... S'il s'agit de croire que pour moi les homos sont des pervers à enfermé au même titre que les zoophile, rien ne pourrais être plus loin de la vérité.
En revanche je répète qu'en ce qui me concerne un gars qui préfère les hommes ou un gars qui préfère les chien n'ont pas a être traiter différemment. La seule nuance c'est que l'un peut vivre sa sexualité dans un cadre légal mais cela ne nous regarde pas.
Citation:
Houla houla...
C'est chaud de discuter d'un sujet "amusant" avec des étudiants philosophes.
Le débat sur un gars qui viole un chien tourne à vos propres sexualités.
Bin... la route est longue.
On sent un peu le genre "j'ai des avis sur tout... mais surtout des avis"
Bon... pour la plupart, je vous laisse entre penseurs et je m'en retourne à mes clébards... vais leur apprendre à croquer tout ce qui a des boutons sur le prépuce...
Un jour vous aurait peut-être des gosses et peut-être même des animaux, une maison, etc... on verra votre réaction dans 10 ans quand vous aurez grandi.
Viol de chien mélangé à la sexualité humaine et autres bizarreries... bravo ! en voilà de bonnes idées importantes et interressantes.
ça sent les vacances pour vous les nains
Avoir des enfants ou des chiens ne rends pas plus bête. J'ai entendu un millier de fois cet argument 'tu verra quand tu auras des enfants', même jusque dans mon boulot quand je travaillais dans la sécurité informatique.
Faudra un peut relâcher la pression un jour. Y'a pas une centaine de mecs qui attendent que tu ai le dos tourné pour violer tes chiens. Les chances que ça arrive sont infimes, et ce n'est pas le boulot de la société de gérer ce risque résiduel à ta place. Et si ça devait arrivé ma foie je serai bien désolé pour tes pauvres bêtes mais j'aurai quand même tendance à offrir ma compassion au pauvre type qui s'est fait choppé avec la queue dans le cul d'un berger allemand, parce que en tant qu'être humain notre première responsabilité est envers nos congénères.