Guy Drut amnistié

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BiZ
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Je vous conseille de lire Montebourg pour avoir une idée précise et intelligente des choses à changer
If you think life's a vending machine, where you put in virtue
And you get out happiness, then you're probably gonna be disappointed.

marseillet: ben,oui.j'assume complètement mon status de parasite de la société.
et comme les français ont choisi de faire dans le social,c'est pas demain que je vais prendre le chemin de la boite!!!!!
clarissep
Dead Novalys a écrit :
Doc Loco a écrit :
vincentvince a écrit :


Enfin ... j'ose espérer qu'après toutes ces sales histoires vous ne le remettrez plus au pouvoir ....


Si comme la dernière fois ils ont le choix entre la peste et le choléra ...


La prochaine fois je vote Le Pen.


... bon ok je ne le ferai pas... mais je voterai blanc, ça c'est sûr.


Voter blanc, cela ne sert à rien...enfin, je ne sais pas chez vous mais est-ce que cela ne revient pas à voter pour la majorité ?
Tout est si simple et si facile quand on rêve. Comment ensuite continuer tout bonnement d'exister s'il n'y avait pas eu cette parenthèse....
Gros Troll
lundi 29 mai 2006, 13h48
Jacques Chirac, cible à son tour d'un documentaire satirique

PARIS (Reuters) - Après Silvio Berlusconi, fustigé par Nanni Moretti dans "Le Caïman", Jacques Chirac est la cible d'un documentaire satirique qui sort mercredi dans les salles de cinéma en France,

"Dans la peau de Jacques Chirac" est une "autobiographie non autorisée" réalisée par Karl Zéro et Michel Royer qui mêle montage d'archives télévisées et confession fictive du président de la République, âgé de 73 ans.

Karl Zéro assure ne pas avoir cherché à "dégommer Chirac" à tout prix, ni voulu suivre l'exemple de Michael Moore, auteur du pamphlet contre George W. Bush, "Fahrenheit 9/11", Palme d'or du Festival de Cannes en 2004.

Mais l'exergue du titre du film, "Quand la réalité dépasse la fiction", donne une idée du résultat du montage d'extraits de 40 ans d'images télévisées sur Jacques Chirac.

Y sont confrontées les déclarations totalement opposées du président français, à quelques années, voire quelques semaines d'écart.

Ce film rappelle aussi que Jacques Chirac, qui affirme avoir toujours été très clair envers l'extrême droite, s'en prenait il y a quelques années aux bruits et aux odeurs des immigrés sur le palier des Français.

Pour Le Figaro Magazine, ce documentaire "ne sort jamais du registre du canular ou de la blague de potache".

D'autres médias estiment que l'on rit beaucoup, parfois jaune au détriment du héros, qui apparaît opportuniste et cynique, et multiplie les lapsus.

"Ce n'est pas un film de propagande anti (ou pro) Chirac. C'est un décryptage", se défend Karl Zéro sur le site internet du film. "Dès qu'il annonce quelque chose, il fait exactement le contraire et réussit le tour de force d'être applaudi pour cela, d'où son étonnante longévité".

Karl Zéro admet "aimer un peu" Jacques Chirac, d'abord parce qu'il est "indéniablement drôle, volontairement ou pas, désarmant parfois et retors aussitôt, habile quand tout le monde le décrit comme benêt et benêt quand il faudrait être habile".

Pour le journaliste, l'histoire de Jacques Chirac est celle "d'un gars qui en veut, mais pas tellement plus qu'un autre, confronté à un pur destin romanesque, soutenu par une chance insolente qui transforme en succès chacune de ses erreurs".

Après le livre "La Tragédie du Président", de Franz-Olivier Giesbert, ce documentaire vient renforcer l'image de la solitude de Jacques Chirac à un an de la fin de son second mandat.

Dans sa dernière édition, L'hebdomadaire Le Point décrit l'Elysée en pleine affaire Clearstream, un "curieux palais immobile où les bruits de la ville ne parviennent qu'assourdis".

"Il y a de l'agitation le mardi soir, quand arrive le Canard enchaîné, et puis ça glisse comme sur les plumes d'un canard", écrit l'hebdomadaire.
"Si mon père m'avait offert la stimulation orale homosexuelle à laquelle j'avais droit à six ans, je n'aurais jamais pris de LSD sans sa permission, comme la plupart des gens."

Herbert Mullin

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