Karchaque a écrit :
Mrpuding a écrit :
Il y a eu des echange des regards plutot soutenus et des merci dans les couloirs pour tenage de porte
trop facile !
tu la salue genre "pfiou ! je m'attendais pas du tout à tomber sur toi !"; sous prétexte que tu l'as souvent aperçue, tu lui demande son nom (quand même, vous êtes presque intimes); tu discutes de tout et de rien (mais tu t'arranges, comme dans le cours, à ramener la conversation à elle). Tu t'arranges pour avoir son numéro (vous organisez pas un pot entre potes genre "ouais on a fini le bac !!" ? [nous on faisait ça...] Tu pourrais l'y inviter : " - ça c'est bien passé (banal mais social) ? ah ouais... ok... bah tu sais quoi, après les épreuves, on va s'faire un p'tit pot entre potes, si tu veux tu peux venir. Quoi ? la même chose avec tes amies ? bah pourquoi on se réunirait pas ? genre "solidarité entre ES " ? (haha) ouais, ok.. .bah donne moi ton numéro..")
Par contre, se méfier des regards. Souvent on sait qu'on plait à une fille, parce qu'elle rougit en nous voyant, parce qu'elle nous balance un grand sourire, mais d'autres fois... méfiance.
Je me souviens (ce qui avait fait l'objet d'un grand moment de solitude posté dans le topic dédié) du pire rateau de ma vie, comme ça.
Une fille de ma classe (j'avais 14 ans) me mattait SANS ARRÊT. Je me suis dit : hou putain toi t'es chaude.
Le soir, je lui demande dans le bus, devant tout homme, elle me met un gros rateau, genre "t'es qui, toi"?
En fait, je pense qu'elle était très conne. Pas seulement parce qu'elle voulait pas sortir avec moi (ce qui est en soi très con) mais aussi et surtout parce qu'elle te regardait "comme ça", les yeux dans le vague, quoi...
Citation:
Est ce bien raisonnable de sortir avec une autre demoiselle pour oublier son ex ?
Bon, je t'explique pour l'avenir : tu ne largues ta meuf que quand tu es sûr d'en avoir une autre. Pas de passage à vide !
Nan je déconne (quoique). Bien sûr que c'est recommandé.
"Si mon père m'avait offert la stimulation orale homosexuelle à laquelle j'avais droit à six ans, je n'aurais jamais pris de LSD sans sa permission, comme la plupart des gens."
Herbert Mullin