Jean-Pierre Aussant, intégriste chrétien dont il n'est pas la peine d'aller consulter le profil Facebook a écrit :
Voici, au fond, la seule vraie question: Homosexualité: Est-ce un péché?
Certes, dans le début de son épître aux romains, St Paul condamne clairement les pratiques homosexuelles.
Certes, fondamentalement et pour des raisons biologiques évidentes, si tous les êtres humains devenaient homosexuels cela mettrait en péril la survie même de l’espèce. En effet on a jamais vu les gays se reproduire entre eux.
Il n’est pas faux de dire que l’homosexualité est intrinsèquement orientée vers la mort.
Il va de soi que si nos parents avaient été homos, nous ne serions pas là pour en parler aujourd’hui…Nier cela est commettre un affront contre le bon sens.
L’homosexualité est essentiellement contre nature et cela dans le présent comme dans le passé. L’homosexualité idyllique « acceptée » dans l’antiquité est une contre vérité et un mythe entretenu par les lobbies gays. Socrate n’a-t-il pas été exécuté justement (en partie) pour cette raison ?
Toutefois, en ce qui concerne la notion de « péché » les choses se compliquent un peu.
En réalité le péché « homo » semble pouvoir être dégradé en 4 phases.
Premier phase.
C’est celle de l’héroïsme.
La personne est homosexuelle mais se bat contre ses tendances, elle ne « pratique » pas, elle souffre en silence, vit dans la solitude. Dans ce cas on ne peut bien évidement pas parler de péché. Bien au contraire, elle a quelque part un comportement héroïque.
Deuxième phase.
C’est la phase de la lâcheté.
Ici, la personne certes « pratique », mais pratique en silence et dans le plus grand privé. Elle est trop faible pour résister mais en même temps elle souffre de son état.
Il y a sans doute ici déjà l’amorce d’un péché mais d’un péché qui je crois est loin d’être le pire.
Troisième phase.
C’est celle du « outing »
C’est l’état où les choses sérieuses commencent. Ici l’individu se ment à lui-même. Non seulement il pratique mais pour échapper à un sentiment de culpabilité il l’annonce haut et fort, il fait comme si son état était normal.
Par le biais d’une fausse sémantique il nomme le « mal » « bien » et le « bien » « mal ». Pour échapper à ses propres ténèbres il veut rendre ténébreux l’univers entier. C’est la phase de l’éthique »à la carte ». Une éthique non transcendantale dont le seul but est de se justifier en évacuant tout sentiment de culpabilité. C’est la phase de la « culture de mort ».
Le niveau du péché ici appartient au mystère de Dieu.
Quatrième phase.
La phase du veau d’or.
C’est peut être la pire.
Elle concerne ceux qui n’ont même pas l’excuse d’être homos eux-mêmes mais qui dans un faux amour déraciné de toute vérité, dans une fausse tolérance, s’agenouillent devant l’autel de l’esprit du temps. Ce sont les « eternels lâches «, ce sont ceux qui étaient nazis quand la majorité était nazi en Allemagne, ce sont ceux qui étaient staliniens quand la majorité des intellectuels français d’après-guerre était stalinienne, ce sont ceux qui maintenant sont pour le meurtre légal des enfants « à naîtres » quand tous le monde est pour l’avortement. Ce sont ceux qui sans être directement concernés, pour rester tranquille, pour gagner leur petit fric, pour conserver leur petite gloire, rampent devant le veau d’or du moment.
Oui, ce sont peut être eux les pires.
Enfin, il est important de souligner que depuis les récent débats en France nous savons qu’environ 50% des gays eux-mêmes sont contre la légalisation du « contre Dieu et nature » mariage homo.
50% des gays sont ils homophobes ?
Nous savons aussi que la majorité des membres des mouvements contre l’avortement sont des femmes.
Ces femmes sont elles misogynes ?
Le débat sur le mariage gay, de même que celui sur l’avortement, touche au plus profond de l’éthique humaine concernant le rapport que l’être humain a avec la vie et bien évidement éclate les petits antagonismes habituels.
La diabolisation comme fasciste, misogyne ou homophobe de tous ceux qui refusent le diktat du politiquement correct, est juste une ruse pour écraser le débat et révèle le vrai visage de la dictature culturelle (fruit du complot fondamentaliste féministe international) qui telle une immonde toile d’araignée planétaire étouffe chaque jour un peu plus la liberté de penser.
In fine, avec la légalisation du mariage homo, c’est un peu comme si on disait à Dieu : « tu as crée la vie, pour cela tu as inventé cette magnifique relation sexuelle entre un homme et une femme pour assurer la continuation de l’espèce. Mais voilà, nous ne sommes pas intéressés et nous te rendons les clefs de la vie en légalisant un état orienté vers la mort.
Et cela, c’est une attaque frontale contre Dieu.
A tous pécheur miséricorde (tendance homosexuelle)
Mais pas de miséricorde pour le péché (légalisation du mariage homo)
Le mal a toujours existé. La nouveauté avec la culture de mort, c'est qu'elle nomme le mal bien et le bien mal.
La légalisation du meurtre légal des enfants non nés et du mariage gay sont essentiellement le signe de la culture de mort qui caractérise notre époque et annonce les temps apocalyptiques.
Toucher à la vie, toucher à la création, c'est attaquer Dieu frontalement.
Le Seigneur ne laissera pas faire.