C'est terrible, mais pas tellement plus que le sort du zillions d'animaux brutalement exploités pour leur chair, leur peau, leur poil avant d'être torturés dans un abattoir pour le plus grand plaisir de zillions de papilles gustatives humaines.
Slyonline2 a écrit :
Et puis de toutes façons, peut importe que l'on soit carniste, végétarien, végan, végétalien,.. tant qu'on est en cohérence avec soi même et conscient de nos actes sur la nature elle même (humaine, animale, végétale, sur notre action sur la planète toute entière...)
Je suis végétarien convaincu mais pas dans le prosélytisme, chacun ses choix.
Perso je regrette un peu que les végétariens n'aient pas été un peu plus dans le prosélytisme - j'aurais sûrement vu la lumière avant mes cinquante ans (j'en ai 60)
FreoBridd a écrit :
J'ai peut-être mangé du chien en Chine... ou pas. Je n'en sais rien car je ne parle pas chinois. Je suis par contre sûr d'avoir mangé du crocodile et du requin. Les grenouilles, soyons honnêtes, étant enfant nous avons presque toujours fêté les anniversaires dans la Dombes...
Je suis probablement bien plus monstrueux à vos yeux que le monstre de Frankenstein qui, lui, était végétarien (même si nous avons, lui et moi, quelques points communs). J'en suis désolé.
P.S. Je ne dis pas cela pour provoquer ni à l'inverse inspirer la pitié mais pour être transparent.
Il m'est arrivé de manger du requin. Mais tuer pour s'en nourrir un chien, un chat, un lapin (zone grise !) ou un cheval (zone encore plus grise !), ce n'est ni plus, ni moins « monstrueux » que de manger du cadavre de cochon, de vache ou de poule.
Juste lu le début (article payant). Je me dis que des percherons vraiment bien traités vaudraient peut-être mieux que des machines (que l'article n'imagine évidemment pas fonctionner à l'électricité !), mais il y a au moins la question de la circulation sur sol très dur, loin d'être idéale pour un ongulé (qu'il avance ou qu'il... regule !).
Mon premier mouvement est de me dire que ces militants se trompent de combat - qu'il y a bien plus pressant, mais moins médiatique et plus dangereux : les abattoirs