King V a écrit :
(...)
Citation:
Pour (sauf évidemment si la victime ne souhaite pas du tout avorter), notamment en cas de viol et d'inceste.
Ton raisonnement est totalement illogique.
Si l'on se place dans ton paradigme moyen-ageux dans lequel toute vie est sacrée, pourquoi un gosse n'aurait-il pas le droit de vivre sous prétexte que son père était un violeur ?
S'il s'agit d'un inceste, eh bien, le gosse risque de naître avec des chromosomes en trop ou des membres en moins, eh bien, la vie des handicapés n'est pas sacrée ?
Il s'agit de "cas" extrêmes et douloureux ; et les "solutions" ne peuvent être qu'imparfaites.
Pour le viol, il y a une situation médiane (entre l'avortement et l'admirable exemple de GX) qui peut être privilégiée si la mère souhaite garder l'enfant, mais ne veut pas s'en occuper : il peut alors être adopté ou confié à une institution.
Je te rejoins complètement sur le caractère sacré de la vie des handicapés.
"la chrétienté a aboli le christianisme" (Sören Kierkegaard).