Biosmog a écrit :
Mr Park a écrit :
bjeje a écrit :
Après tant que vous le vivez bien c’est vous que ça regarde.
Moi personnellement je ne pourrais pas, j’aurais mauvaise conscience de rester à la maison pendant que ma femme part tous les matins au boulot pour faire bouillir la marmite, mais c’est juste ma façon de voir les choses.
Pourquoi aurais-tu mauvaise conscience? Pour l'argent? Madame travaille de nuit, donc je gère pas mal de trucs, je ne passe pas mes journées à me tourner les pouces hein
Le conformisme social. Ma femme a quitté son travail en institution pour prendre un cabinet. Pas besoin de préciser que son revenu a pris l'ascenseur. Et dans le même temps, j'ai un peu régressé (je travaille moins, pas de mon gré). En réfléchissant j'arrive parfaitement à m'en ficher. Mais cela oblige à changer de stratégies de séduction: le grand prince qui offre, c'est compliqué, quand face à toi, t'as quelqu'un de bien plus prospère. Et de son côté, elle ne m'aide pas beaucoup, car elle adore se faire traiter en princesse, se faire offrir des trucs de nana (resto, bijoux, fringues, ...)
Pour être tout à fait franc, je sens qu'au fond de moi, le modèle de la femme entretenue est encore présent.
Edit: en y réfléchissant, le fait qu'elle mette plus d'argent dans le compte commun - spontanément, elle m'a simplement dit qu'elle versait plus: on n'a jamais formalisé ni calculé - ne me dérange pas autant. C'est dans les relations de "cadeaux", que ça m'ennuie. On est con
On ne s'est jamais trop posé la question avec ma femme. Pendant un moment elle a gagné un peu plus que moi, en ce moment c'est moi qui gagne un peu plus, mais bon, ça se joue à pas grand chose. Du coup, pour le compte commun, ça dépend des mois, parfois je mets plus, parfois c'est elle, et s'il faut rajouter on en cause et on voit qui est le moins raide.De toute façon c'est moi qui gère les comptes, elle est allergique à la gestion via ordi/applis
Et pour les cadeaux, c'est quasi l'inverse de biobio, je me fais engueuler quand c'est "des trucs qui servent à rien", maintenant je fais gaffe