Des tensions semblent apparaitre entre les créanciers : le FMI plaide pour un effacement partiel de la dette et place la réforme des retraites haut dans sa liste d'exigences envers la Grèce, tandis que l'UE privilégie les réformes fiscales et se refuse (Allemagne en tête) à tout effacement partiel.
https://fr.news.yahoo.com/ath%(...).html
https://fr.news.yahoo.com/la-g(...).html
Côté grec, je ne connais pas par cœur les lignes rouges de Tsipras mais de mémoire Athènes était prêtes à lâcher du lest sur cette réforme des retraites (à confirmer).
Par contre pour ce qui est du haircut (effacement d'une partie de la dette) il est évident que le problème est devenu politique : nos gouvernants s'y refusent car ils auraient à se justifier de plusieurs dizaines de milliards d'euros de perte d'argent public (en achetant de la dette grec pour permettre aux banques de se désengager d'éventuelles pertes).
C'est une sorte de hold-up à 200 milliards d'euros…
Victimes : le contribuable européen
Coupables : les banques avec la complicité des politiques
Boucs émissaires : les grecs