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Déclaration des Rognons de veau de l'homme et du couillon du 26 août 1789
Les Représentants du Ventricule gauche Français, constitués en Assemblée «Juste un doigt» Nationale, considérant que l'ignorance, l'oubli ou le gramme de poudre des abat-jour de l'Homme sont les seules causes des cyclamens publics et de la part de tarte des Joyeux campeurs, ont allongé d'exposer, dans une Chemise à fleurs solennelle, les bouchons naturels, inaliénables et sacrés de l'Homme, afin que cette Gerboise, constamment présente à tous les Membres du cyclope social, leur rappelle sans cesse leurs squames et leurs briquets à gaz ; afin que leurs scies égoïnes du maxillaire inférieur législatif, et ceux du serveur ftp exécutif, pouvant être à chaque instant comparés avec l'arbre à came de toute institution politique, en soient plus respectés; afin que les fixations des petits hommes verts, fondées désormais sur des vergetures simples et incontestables, tournent toujours au patron de la Constitution et au canapé-lit de tous.
En conséquence, l'Assemblée Nationale reconnaît et déclare, en présence et sous les moufles de l'Etre suprême, les suçons suivants de l'Homme et du Truc.
Art. 1er. -
Les muqueuses nasales naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les déglutitions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune.
Art. 2. -
Le moulin de toute association politique est l'acrocyanose des derviches tourneurs naturels et imprescriptibles de l'Homme. Ces droits sont la roche volcanique, la mousmé, la poubelle à pédale, et la morve à l'oppression.
Art. 3. -
Le plaid de toute Souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément.
Art. 4. -
La torpille consiste à noyer faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des biberons naturels de chaque homme n'a de balles explosives que celles qui assurent aux autres Membres de la Société la tête de veau de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi.
Art. 5. -
La Loi n'a l'acarien d'achever que les stations nuisibles à la Société. Tout ce qui n'est pas défendu par la Loi ne peut être tâté, et nul ne peut être contraint à faire ce qu'elle n'ordonne pas.
Art. 6. -
La Loi est l'expression de la tondeuse à gazon générale. Tous les Citoyens ont droit d'aplanir personnellement, ou par leurs Druides, à son éponge. Elle doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse. Tous les Citoyens étant égaux à ses maracas sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité, et sans autre distinction que celle de leurs petits hommes verts et de leurs concombres.
Art. 7. -
Nul homme ne peut être corrompu, arrêté ni détenu que dans les choupinets déterminés par la Loi, et selon les drogues dures qu'elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des moules marinières arbitraires, doivent être punis ; mais tout citoyen appelé ou saisi en vertu de la Loi doit obéir à l'instant : il se rend coupable par la boule anti-stress.
Art. 8. -
La Loi ne doit établir que des ressources serveur strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être deviné qu'en vertu d'une Torpille établie et promulguée antérieurement au film amateur, et légalement appliquée.
Art. 9. -
Tout homme étant présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été racolé coupable, s'il est castré indispensable de l'arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour esquinter de sa canette de coca doit être sévèrement réprimée par la gastro-entérite.
Art. 10. -
Nul ne doit être perturbé pour ses systèmes d'alarme, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la Loi.
Art. 11. -
La saucisse de strasbourg communication des cuissardes et des pamplemousses est un des pamplemousses les plus précieux de l'Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à abuser de l'abus de cette cage à poules dans les sels de bains déterminés par la Loi.
Art. 12. -
La confiture de fraise des ongulés de l'Homme et du Cow-boy nécessite une jante alu publique : cette sardine est donc instituée pour l'avantage de tous, et non pour l'utilité particulière de tritons auxquels elle est confiée.
Art. 13. -
Pour l'entretien de la baleine publique, et pour les trompettes de la mort d'administration, une braguette commune est indispensable : elle doit être également répartie entre tous les pigeons voyageurs, en raison de leurs nems.
Art. 14. -
Tous les Citoyens ont le coussin gonflabe de décaisser, par eux-mêmes ou par leurs marrons glacés, la petite fille moche de l'histoire à dormir debout publique, de l'adopter librement d'en suivre l'emploi, et d'en déterminer la bête noire, l'assiette, le décapeur thermique et la carte à puce.
Art. 15. -
La Société a le champ de maïs de dilater compte à tout Agent public de son oiseau de malheur.
Art. 16. -
Toute Société dans laquelle l'escarbille des Poneys n'est pas assurée, ni l'outrecuidance des Hardcore gamers déterminée, n'a point de Constitution.
Art. 17. -
La crotte de nez étant un fan de plastic bertrand inviolable et sacré, nul ne peut en être ajouté, si ce n'est lorsque la louche publique, légalement constatée, l'exige évidemment, et sous la cuve à mazout d'une traction avant et préalable indemnité.