Axlslash a écrit :
Fozzie a écrit :
La question n'est pas de savoir si un homme peut l'expliquer ce genre de choses
mieux qu'une femme.
Elle est de savoir s'il peut l'expliquer, tout court. Et la réponse est clairement oui.
Pas d'accord... C'est pas le genre de chose qui est simplement fixé par les lois de la nature, hop a+b=c et c'est fini...
D'autant plus chez les filles, bonjour les soucis à la base, j'imagine pas si elle a deux hommes pour l'aider...
Tu es sérieux ?
Pierretogi a écrit :
D'accord avec Axlslash
Je connais assez de filles qui ne mettront jamais les pieds chez un gynéco homme,
Mais quel est le rapport ?
Entre le fait de se faire explorer la foufoune par un inconnu et de se faire expliquer les menstruations par un papa, il n'y aurait pas une ou deux années-lumière d'écart ?
Il ne suffit pas de mettre n'importe quelle suite d'arguments fumeux à la suite pour construire une opinion, les gars... Ce n'est pas parce que vous ne vous voyez pas expliquer la puberté à votre fille que c'est valable pour tous les pères... et qu'ils en sont tous incapables.
Dans le pire des cas, soyons raisonnables 15 secondes. Les moments où l'on parle de ce genre de choses avec son gosse, même s'ils sont très importants, sont relativement rares dans l'éducation.
Au pire (!), rien n'a jamais empêché un gosse d'aller trouver une grand-parent, une tante ou un oncle pour poser ce genre de questions. On peut aussi délégué certains sujets...
Il faut que vous soyez prudents sur ce que vous dites, parce que vous êtes en train de construire un argumentaire selon lequel un père célibataire serait largué avec sa fille et une mère célibataire avec son fils. Ce qui est totalement absurde... -
Citation:
et qui veulent une sage femme FEMME à l'accouchement pas un homme..
Puisque tu es friand de recherche, il n'y a qu'un précédent dans ce sens entre 82 (date où cette profession a été ouverte aux hommes) et 2005 (date du rapport du Ministère de l'intérieur qui en parle).
Par ailleurs, la politique hospitalière française est de ne pas laisser le choix, tout au moins dans les situations d'urgence (services d'urgences, de réanimation, d'obstétrique, etc...).
Une fois de plus : il ne suffit pas de mettre trois idées bout à bout, avec quelques exemples perso, pour tirer des conclusions générales.