Le topic des paroliers

David Byrne était, et reste, un putain de parolier :

And all I see is little dots
Some are smeared and some are spots
Feels like a murder but that's alright
Somebody said there's too much light
Pull down the shade and it's alright
It'll be over in a minute or two.

Ouaip, en ce moment ses premiers albums solo tournent en boucle.

Les lignes géniales qui ouvrent Rei Momo

Now and then I get horny
At night you do
At night you do
Smile - from side to side
At night you do
At night you do

She'll be comin' round the mountain
Six white horses by her side
No stops for gas, food or lodging
She's wearing nothing but a smile
And though we struggle for our freedom
Our need for others still remains
We know what will make us happy
We know what will ease our pain

"Bitches ain't shit but hoes and tricks
Lick on these nuts and suck the dick
Get the fuck out after you're done
And I hope in my ride to make a quick run..."

Snoop Dogg

Rhaaa, merci Didi, je ne suis pas le seul à trouver ça dinguement génial.

Ce qui montre bien que les paroles de chansons sont indissociables de la musique, de la voix, du phrasé... parce que les extraits de Neredev, sans contexte ni musique... difficile d'imaginer ce qui peut le faire tripper là-dedans :

And all I see is little dots
Some are smeared and some are spots
Feels like a murder but that's alright
Somebody said there's too much light
Pull down the shade and it's alright
It'll be over in a minute or two.

Il raconte son dépucelage ?

J'ai toujours bien aimé Au creux de ton bras malgré le fait que la mélodie m'évoque furieusement Aline.

Problems, the problem is you!

What is wrong with me?

What the fuck is going on?

Seek and destroy!

Aline était l'Héroïne de Christophe

J'avais dessiné sur le sable
Son doux visage qui me souriait
Puis il a plu sur cette plage
Dans cet orage, elle a disparu

Et j'ai crié, crié, Aline, pour qu'elle revienne
Et j'ai pleuré, pleuré, oh! j'avais trop de peine

Je me suis assis près de son âme
Mais la belle dame s'était enfuie
Je l'ai cherchée sans plus y croire
Et sans un espoir, pour me guider

Et j'ai crié, crié, Aline, pour qu'elle revienne
Et j'ai pleuré, pleuré, oh! j'avais trop de peine

Je n'ai gardé que ce doux visage
Comme une épave sur le sable mouillé

Et j'ai crié, crié, Aline, pour qu'elle revienne
Et j'ai pleuré, pleuré, oh! j'avais trop de peine

Quand je me tourne vers mes souvenirs
Je revois la maison où j´ai grandi.
Il me revient des tas de choses
Je vois des roses dans un jardin.
Là où vivaient des arbres, maintenant
La ville est là
Et la maison, les fleurs que j´aimais tant
N´existent plus.

Ils savaient rire, tous mes amis
Ils savaient si bien partager mes jeux
Mais tout doit finir pourtant dans la vie
Et j´ai dû partir, les larmes aux yeux.
Mes amis me demandaient : "Pourquoi pleurer?
Découvrir le monde vaut mieux que rester.
Tu trouveras toutes les choses qu´ici
On ne voit pas
Toute une ville qui s´endort la nuit
Dans la lumière."

Quand j´ai quitté ce coin de mon enfance
Je savais déjà que j´y laissais mon cœur.
Tous mes amis, oui, enviaient ma chance
Mais moi, je pense encore à leur bonheur
A l´insouciance qui les faisait rire
Et il me semble que je m´entends leur dire :
"Je reviendrai un jour, un beau matin
Parmi vos rires
Oui, je prendrai un jour le premier train
Du souvenir."

Le temps a passé et me revoilà
Cherchant en vain la maison que j´aimais.
Où sont les pierres et où sont les roses
Toutes ces choses auxquelles je tenais?
D´elles et de mes amis plus une trace
D´autres gens, d´autres maisons ont volé leurs places.
Là où vivaient des arbres, maintenant
La ville est là
Et la maison, où est-elle, la maison
Où j´ai grandi?
Je ne sais pas où est ma maison
La maison où j´ai grandi.
Où est ma maison?
Qui sait où est ma maison?
Ma maison, où est ma maison?

Ce qui montre bien que les paroles de chansons sont indissociables de la musique, de la voix, du phrasé... parce que les extraits de Neredev, sans contexte ni musique...

Les songwriteuses de sexe féminin, c'est rare. Surtout en France,