Axlslash a écrit :
didithegrave a écrit :
[blabla]
Ca c'est typiquement le genre de réactions débile, désolé mais faut arrêter avec ça. Autant Drougy vous l'a dit, en prépa littéraire et aux ENS lettres, il y a des gens vraiment cultivés, c'est assez impressionnant, qu'en maths il y ait que des tronches de cakes boutonneux incapables de dire une phrase correcte en français c'est aussi vrai, mais les meilleures écoles d'ingénieurs sont loins de négliger la culture et le reste.
Même si dans notre matière lettres, ça s'arrête à 2 oeuvres chiantes, ceux qui sortent du lot sont les cultivés, et y'en a certains qui sont monstrueux.
Mes coefs à centrale le prouvent: les plus hauts, 11, pour physique et... lettres-philo... Les maths juste dessous, étonnant hein !
Après y'a les matheux, les gens normaux, et ceux qui sont là parce que le système des prépas est en train de faiblir comme lycée et cie (du moins en province).
Alors dites pas "je vais faire prépa" alors que vous êtes au collège, c'est ridicule. C'est pas du tout la même chose, suffit pas d'apprendre bêtement. Le problème c'est qu'on retrouve des abrutis qui ont eu leur bac à la ramasse et qui font maths sup/spé
Je ne dis pas abruti pour le fait d'avoir son bac à la ramasse, mais pour faire prépa... Vaut mieux faire un iut et bien le réussir, plutôt qu'aller se flinguer le crâne en prépa.
De toutes façons, la prépa reste la seule "formation" sûre de sélectionner les très bons (seule dans le sens c'est assuré, à la fac un peu moins quand même hein...). Parce qu'avec un bac merdique à un point je vois pas ce qu'on peut faire des fantastiques bacheliers français qui ont appris leurs 10 exos par matière pour obtenir ce beau diplôme insignifiant...
Quand au niveau de maturité, c'est clair que ça abruti, mais au moins on montre qu'on a un truc dans le crâne et qu'on est capables de faire des choses autres que fumer des joints (remarque, y'en a pas mal qui sont bien drogués...).
bref, vivement que je sois en école, diplômé, et que je me casse d'ici...
casse toi maintenant hein, on te retient pas