fitipaldixxx a écrit :
Avant le regroupement familial, il y a eut une première immigration, bien avant, toute naturelle qui en était pas une, car il état normal que des Algériens viennent en France, en principe, c'était leur pays.
J'avoue qu'on a pas été correct avec eux, et je suis prêt à reconnaître l'immense paradoxe et la face cachée de De Gaulle, qui se fait mettre dehors de l'Algérie et en même temps fait le forcing pour récupérer des dizaines de milliers d'Algériens pour fournir de la main d'oeuvre bon marché à l'industrie automobile Française.
Dans les années 60, c'était 80% des 0S de ce qu'on appelait la régie Renault (national à l'époque) qui étaient Algériens .... et payés au lance-pierre.
ça c'est une honte de l'histoire de la France, j'en conviens.
Le paradoxe étant, c'est que ces Algériens de toutes origines d'ailleurs, y compris les Kabyles, etc.. de cette époque, qui ont pourtant souffert du mauvais traitement subit, ces personnes de cette génération, ne sont pas du tout fanatisés par l'islam intégriste, mais alors pas du tout et pas revanchards contre la France, alors que eux, ils auraient quelque motif légitime d'amertume.
Moi, je les appelle, mes petits vieux, ils sont tous très sympas, des gens adorables, chaleureux, musulmans sur la marge, un qui me dit, "Allah fait tout... mais peut mieux faire", moi j'adore ces gens.
Mais, comme eux, mon incompréhension, c'est pourquoi les jeunes, pas tous mais un bon nombre se laissent embobiner par le fanatisme religieux, là je comprends pas.
Je ne comprends pas non plus, le convertis, alors eux, ce sont les pires des cons, les français d'origine qui se convertissent, ce sont des plaies.
Alors, oui, j'ai cité des versets bizarres de l'islam, je ne suis pas dupe, je sais et je répète que les anciens en rient, ils sont très distanciés, mais pourquoi les jeunes tombent dans le panneau d'une lecture littérale ?
D'autant que ces jeunes ont moins à souffrir du pays que leurs aînés ?
Oui pour de gaulle, bien épaulé par le "fameux" Michel Debré qui n'ont vu rien d'autres que leurs intérêts.
Pour les convertis, je connais un jeune français qui était une vraie racaille, une plaie perdue pour la société.