BaZZman a écrit :
Le "minable" dans l'histoire c'est plutôt le PS. Besson en a pris plein la g**** pour avoir osé critiqué Ségo et maintenant tu t'étonnes de sa réaction ? Le PS de Ségo me fait un peu penser à une "secte" avec une (demi) pensée unique. Même si Besson n'était pas d'accord avec les (non) idées de Ségo, c'était, à mon avis, pas difficile de l'évincer sans provoquer une guerre de tranchée.
Ségolène a un gros problème, elle n'attire pas la sympathie même auprès de ses collaborateurs. A chaque émission qu'elle a faite j'ai lu des critiques sur le fait qu'elle est distante ou hautaine (à droite comme à gauche d'ailleurs). Je pense que si elle perd l'élection elle va prendre un retour de bâton TRES sévère...
Je crois que tu exagères un peu les choses et que tu ne sais pas de quoi tu parles.
Besson était hostile à Ségolène Royal dès le début. Il souhaitait l'investiture de Jospin et que le PS prenne un virage social-libéral.
Ce n'est pas le PS qui l'a évincé mais Besson qui est parti en claquant la porte pour des questions d'égo, à savoir que comme il ne se sentait pas assez écouté sur Jospin notamment il a fait son caca nerveux.
Globalement tout le monde dans la presse s'accorde à dire que ce gars voulait son quart d'heure de célébrité.
La preuve quand il s'est fait recalé de l'ENA il a fait publié une pleine page de Le Monde pour expliquer pourquoi il s'en foutait alors qu'à l'époque il était encore moins connu qu'aujourd'hui.
Ensuite son ralliement à Sarkozy montre sa duplicité et son peu d'amour propre. On ne peut pas diffamer publiquement un type et ensuite venir lui lécher le cul sous prétexte qu'on a trahi son camp.
Il est d'autant plus con que c'est en ralliant Bayrou qu'il aurait fait le plus de mal au PS.
"Sans une faciale de temps en temps, peut-on réellement parler d'amour?", Ben.oît
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