Présidentielles 2007 Topic Unique

Rappel du dernier message de la page précédente :
shadow_gallery
Marx et Trotsky tu sais, c'est pas vraiment ma tasse de thé. Le fait qu'ils se retournent dans leur tombe ne m'empêchera pas de dormir. L'aliénation par le capital c'est marrant mais c'est pas ça qui m'aidera à payer mon Urssaf. Ca reste pour moi des considérations du siècle passé.

Je suis plutôt terre à terre comme garçon. Voir un brin altruiste parce que je ne suis pas le seul dans l'aventure, j'ai pas envie de laisser un chômeur sur le carreau, et je compte bien me développer et créer de la charge salariale payée à rien foutre.
En tout cas à vous lire, c'est vraiment à se décourager d'entreprendre... heureusement qu'il y en a encore qui croient à l'esprit d'entreprise.
Quand j'entends le mot culture, je sors mon revolver.
shadow_gallery a écrit :

En tout cas à vous lire, c'est vraiment à se décourager d'entreprendre... heureusement qu'il y en a encore qui croient à l'esprit d'entreprise.


Les gars, faut vous détendre. Personne n'a jamais tapé sur les petits patrons. Les avantages fiscaux quand on démarre une entreprise, donc qu'on crée de l'emploi (au moins le sien) me paraissent même légitimes.

Le truc à comprendre, c'est que ces avantages ce peuvent se péréniser dans le temps. Il faut faire un choix : soit on donne du pognon aux défavorisés, pour les aider à s'en sortir (je ne parle pas de financer l'assistanat, qui est un autre débat), soit on file ce pognon aux entreprises (qui, à terme, sont censées en avoir moins besoin). Soyons clairs : si une entreprise continue après cinq ans à avoir besoin d'avantages fiscaux, c'est qu'elle n'est pas rentable dans le cadre de notre économie, et donc qu'il faut remettre en question son existence (pour rappel, j'ai été à mon compte pendant trois ans).

Quand on compare les chiffres, il y a quand même un probleme :
- cumul du RMI en 2006, cinq milliards d'euros.
- cadeaux fiscaux fait aux entreprises en 2006 : 65 milliards d'euros.
Personne ne parle de réduire le dernier chiffre à zéro, mais ne serait-il pas pertinent de penser à rééquilibrer la balance ?
(je ne parle pas des dividendes de l'actionnariat : les 12 représentants des candidats la semaine dernière sur Mots Croisés sont tombés d'accord sur le chiffre de 100 milliards d'euros).

Il ne s'agit, pour une certaine gauche (à laquelle je revendique d'appartenir avec fierté), de brimer personne en lui jetant l'opprobe, ni de raviver la lutte des classes (je ne le ferai pas tant que je considèrerai le débat serein, en tout cas ), mais de réfléchir à la répartition en fonction de certaines réalités :
oui, les patrons de petites entreprises en création ont besoin d'être aidés
non, cette aide n'a pas à être pérénisée
non, les gens qui ont chient n'ont pas qu'un petit effort de volonté à faire pour s'en sortir.
BiZ
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shadow_gallery a écrit :
En tout cas à vous lire, c'est vraiment à se décourager d'entreprendre... heureusement qu'il y en a encore qui croient à l'esprit d'entreprise.

Note préliminaire: j'imagine que ce "vous" comprend tous les contributeurs du topic. Je vais donc te répondre en considérant que "mes lectures" font partie de celles qui te découragent d'entreprendre.
Si ce comportement te paraissait refléter un problème d'égo, merci de m'en faire part (ou pas)

Je ne vois pas en quoi ce qui est écrit est de nature à te décourager: d'après ce que je j'ai pu lire dans ces dernières pages, personne n'a montré d'animosité particulière à l'égard des entrepreneurs. J'ai simplement dit pour ma part que le travail n'était pas rémunéré à sa juste valeur (qu'il soit intellectuel ou manuel). La responsabilité de le revaloriser ne repose pas uniquement sur tes épaules d'entrepreneur, rassure toi.
If you think life's a vending machine, where you put in virtue
And you get out happiness, then you're probably gonna be disappointed.

marseillet: ben,oui.j'assume complètement mon status de parasite de la société.
et comme les français ont choisi de faire dans le social,c'est pas demain que je vais prendre le chemin de la boite!!!!!
shadow_gallery
Kenshin. a écrit :
J'adore cette bonne vieille lutte des classes

Les entreprises tournent grace à leurs employés aussi, alors oui l'entrepreneur risque sa chemise mais c'est aussi le premier à recevoir les fruits de son travail.

Des patrons riches ça existent, des ouvriers riches, non. Bien souvent les conflits eclatent car il y a un refus de reconnaitre la valeur du travail fourni.


Ce genre de post tu trouves ça encourageant? En gros tous les entrepreneurs (ou patrons si tu préfères, bien que rien que le terme induit déjà un certain état d'esprit) paient mal leurs employés parce qu'ils ne savent pas reconnaître la valeur de leur travail.
Donc à partir du moment où on est employeur et plus employé, on passe de l'autre côté de la barrière...
Quand j'entends le mot culture, je sors mon revolver.
BaZZman
san pedro a écrit :
shadow_gallery a écrit :

En tout cas à vous lire, c'est vraiment à se décourager d'entreprendre... heureusement qu'il y en a encore qui croient à l'esprit d'entreprise.


Les gars, faut vous détendre. Personne n'a jamais tapé sur les petits patrons. Les avantages fiscaux quand on démarre une entreprise, donc qu'on crée de l'emploi (au moins le sien) me paraissent même légitimes.

Le truc à comprendre, c'est que ces avantages ce peuvent se péréniser dans le temps. Il faut faire un choix : soit on donne du pognon aux défavorisés, pour les aider à s'en sortir (je ne parle pas de financer l'assistanat, qui est un autre débat), soit on file ce pognon aux entreprises (qui, à terme, sont censées en avoir moins besoin). Soyons clairs : si une entreprise continue après cinq ans à avoir besoin d'avantages fiscaux, c'est qu'elle n'est pas rentable dans le cadre de notre économie, et donc qu'il faut remettre en question son existence (pour rappel, j'ai été à mon compte pendant trois ans).

Ne s'applique pas à toutes les entreprises, notamment celles qui font beaucoup de R&D...


Quand on compare les chiffres, il y a quand même un probleme :
- cumul du RMI en 2006, cinq milliards d'euros.
- cadeaux fiscaux fait aux entreprises en 2006 : 65 milliards d'euros.
Personne ne parle de réduire le dernier chiffre à zéro, mais ne serait-il pas pertinent de penser à rééquilibrer la balance ?
(je ne parle pas des dividendes de l'actionnariat : les 12 représentants des candidats la semaine dernière sur Mots Croisés sont tombés d'accord sur le chiffre de 100 milliards d'euros).

Tu fais une erreur de logique. Il faut comparer les avantages fiscaux (qui n'en sont pas en fait) non pas aux RMI mais au montant des salaires versés par ces même entreprises...

Il ne s'agit, pour une certaine gauche (à laquelle je revendique d'appartenir avec fierté), de brimer personne en lui jetant l'opprobe, ni de raviver la lutte des classes (je ne le ferai pas tant que je considèrerai le débat serein, en tout cas ), mais de réfléchir à la répartition en fonction de certaines réalités :
oui, les patrons de petites entreprises en création ont besoin d'être aidés
non, cette aide n'a pas à être pérénisée
non, les gens qui ont chient n'ont pas qu'un petit effort de volonté à faire pour s'en sortir.


Les aides aux entreprises sont RIDICULES. Voilà la vérité. C'est encore plus vrai pour les PME. Quand l'état "investit" dans une entreprise, il met que dalle. Résultat, une bonne partie de cet argent est dépensé en pure perte car l'entreprise ne pourra jamais se développer faute de moyens suffisants.
shadow_gallery
Vrai et faux à la fois. C'est faux dans le sens où les aides sont déjà significatives pour les entreprises qui démarrent, globalement, même si excessivement chronophages et consommatrices d'énergie. C'est d'une simplicité renversante d'avoir un crédit de taxe pro. Pour ceux qui n'ont jamais essayé, je conseille... ça met tout de suite dans l'ambiance.
Maintenant les entreprises innovantes ne sont clairement pas aidées comme elles le devraient (crédit d'impôt recherche, super: tu fais pas de résultat parce que tu es en phase de recherche mais si tu faisais, du résultat, tu aurais le droit de payer ton IS plus tard) heureusement qu'il y a les capitaux privés pour aider au développement. Seulement ces enfoirés attendent du dividende en retour.
Et Bazzman, même pas besoin de mettre en face des "cadeaux" aux entreprises les salaires dans la balance. Juste les charges et taxes, ça suffira pour montrer que quand l'état donne d'un côté, il reprend x fois plus derrière. Mais ça, ce n'est jamais mis en lumière.
Quand j'entends le mot culture, je sors mon revolver.
BiZ
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shadow_gallery a écrit :
Kenshin. a écrit :
J'adore cette bonne vieille lutte des classes

Les entreprises tournent grace à leurs employés aussi, alors oui l'entrepreneur risque sa chemise mais c'est aussi le premier à recevoir les fruits de son travail.

Des patrons riches ça existent, des ouvriers riches, non. Bien souvent les conflits eclatent car il y a un refus de reconnaitre la valeur du travail fourni.


Ce genre de post tu trouves ça encourageant? En gros tous les entrepreneurs (ou patrons si tu préfères, bien que rien que le terme induit déjà un certain état d'esprit) paient mal leurs employés parce qu'ils ne savent pas reconnaître la valeur de leur travail.

Mais non... Pas TOUS. Ca existe, c'est indéniable, et c'est loin d'être marginal, mais tous ne réagissent heureusement pas comme ça. Tu vois, c'est difficile de ne pas tout prendre pour soi: tu feras j'en suis sûr un patron juste, mais c'est pas le cas de tout le monde: tu l'as dit toi même y a des cons partout.
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marseillet: ben,oui.j'assume complètement mon status de parasite de la société.
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Kenshin.
shadow_gallery a écrit :
Kenshin. a écrit :
J'adore cette bonne vieille lutte des classes

Les entreprises tournent grace à leurs employés aussi, alors oui l'entrepreneur risque sa chemise mais c'est aussi le premier à recevoir les fruits de son travail.

Des patrons riches ça existent, des ouvriers riches, non. Bien souvent les conflits eclatent car il y a un refus de reconnaitre la valeur du travail fourni.


Ce genre de post tu trouves ça encourageant? En gros tous les entrepreneurs (ou patrons si tu préfères, bien que rien que le terme induit déjà un certain état d'esprit) paient mal leurs employés parce qu'ils ne savent pas reconnaître la valeur de leur travail.
Donc à partir du moment où on est employeur et plus employé, on passe de l'autre côté de la barrière...


je dis "certains" et tu reprends "tous", c'est assez incroyable !

Comme je l'ai deja dis, tout les patrons ne sont pas pourris MAIS ils sont dans la position du dominant. Ils sont en position d'imposer des conditions salariales et/ou de travail à leurs employés.

Le fait de pouvoir le faire ne veut pas dire qu'ils le fassent mais que leur donner "carte blanche" c'est prendre un gros risque.
shadow_gallery
Une chose est sûre. Si demain on me laisse la possibilité de 2 emplois sans charge, j'embauche 2 mecs et pas un, et dans 3 ans je demande plus aucune aide de l'Etat, et dans 5 ans j'emploie 5 à 7 personnes.
J'ai refait mes calculs dans tous les sens, si je veux prendre le moins de risques possible (et faire courir le moins de risque possible à mon salarié ) je n'ai pas les moyens d'être ambitieux aujourd'hui.
Quand j'entends le mot culture, je sors mon revolver.
BaZZman
Kenshin. a écrit :
shadow_gallery a écrit :
Kenshin. a écrit :
J'adore cette bonne vieille lutte des classes

Les entreprises tournent grace à leurs employés aussi, alors oui l'entrepreneur risque sa chemise mais c'est aussi le premier à recevoir les fruits de son travail.

Des patrons riches ça existent, des ouvriers riches, non. Bien souvent les conflits eclatent car il y a un refus de reconnaitre la valeur du travail fourni.


Ce genre de post tu trouves ça encourageant? En gros tous les entrepreneurs (ou patrons si tu préfères, bien que rien que le terme induit déjà un certain état d'esprit) paient mal leurs employés parce qu'ils ne savent pas reconnaître la valeur de leur travail.
Donc à partir du moment où on est employeur et plus employé, on passe de l'autre côté de la barrière...


je dis "certains" et tu reprends "tous", c'est assez incroyable !

Comme je l'ai deja dis, tout les patrons ne sont pas pourris MAIS ils sont dans la position du dominant. Ils sont en position d'imposer des conditions salariales et/ou de travail à leurs employés.

Le fait de pouvoir le faire ne veut pas dire qu'ils le fassent mais que leur donner "carte blanche" c'est prendre un gros risque.


En France, ils ont quand même un cadre très strict à ne pas "dépasser".
On est quand même plus au moyen age. Evidemment il y a des pourris, mais dans 99% des entreprises, le salarié fait exactement ce qu'il doit faire et est payé pour le travail accompli.
Ïvguenyp
http://minilien.com/?BukJhKzdzC

Simone Veil désapprouve vivement le "ministère de l'immigration et de l'identité nationale".
Pour autant, elle pense qu'il ne s'agit pas d'un appel du pied à l'extrème-droite, en vertu de l'argument suivant :
"Nicolas est gentil".

---
merci simone a bientot
shadow_gallery
Kenshin. a écrit :
shadow_gallery a écrit :
Kenshin. a écrit :
J'adore cette bonne vieille lutte des classes

Les entreprises tournent grace à leurs employés aussi, alors oui l'entrepreneur risque sa chemise mais c'est aussi le premier à recevoir les fruits de son travail.

Des patrons riches ça existent, des ouvriers riches, non. Bien souvent les conflits eclatent car il y a un refus de reconnaitre la valeur du travail fourni.


Ce genre de post tu trouves ça encourageant? En gros tous les entrepreneurs (ou patrons si tu préfères, bien que rien que le terme induit déjà un certain état d'esprit) paient mal leurs employés parce qu'ils ne savent pas reconnaître la valeur de leur travail.
Donc à partir du moment où on est employeur et plus employé, on passe de l'autre côté de la barrière...


je dis "certains" et tu reprends "tous", c'est assez incroyable !

Comme je l'ai deja dis, tout les patrons ne sont pas pourris MAIS ils sont dans la position du dominant. Ils sont en position d'imposer des conditions salariales et/ou de travail à leurs employés.

Le fait de pouvoir le faire ne veut pas dire qu'ils le fassent mais que leur donner "carte blanche" c'est prendre un gros risque.


J'ai aussi lu "bien souvent" ce qui tend à une généralité quand même.
Je vais payer un SMIC à mon employé, ça fait sans doute de moi un enfoiré, mais il sera mieux payé que moi...
Quand j'entends le mot culture, je sors mon revolver.
BiZ
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Caliméro sors de ce corps!
If you think life's a vending machine, where you put in virtue
And you get out happiness, then you're probably gonna be disappointed.

marseillet: ben,oui.j'assume complètement mon status de parasite de la société.
et comme les français ont choisi de faire dans le social,c'est pas demain que je vais prendre le chemin de la boite!!!!!
Ïvguenyp
pour reprendre le sujet le capitalisme moderne a la ford dans sa pire finalité était l'exploitation de l'homme par l'homme ..

un investisseur souvent le patron apportait sa richesse a l'entreprise. Les ingénieurs , ouvriers apportaient une autre richesse travail.

Les employés se dévouaient a leur entreprise créait de la richesse , du marché. L'investisseur gagnait de l'argent sur son investissement , argent réinvesti dans la conquéte de nouveaux marchés, dans la recherche et pour les salariés.

effectivement il y avait des dérives mais c'était la façon de fonctionner " du capitalisme de ford".

aujourd'hui la dimension humaine a totalement disparu. Les investisseurs ne sont plus que des cabinets ou fond de pension voulant le profit a trés court terme ,sans se soucier d'un historique ou d'un capital humain de l'entreprise. la notion humaine a totalement disparu.

d'ou les délocalisations , les suppressions de postes d'entreprise faisant des bénéfices , possédant un vrai capital huamin ..

Il n'y a qu' a prendre le cas valéo.

Aujourd'hui les investisseurs ne cherchent plus a faire évoluer leurs investissements sur le long therme mais sur les trés court therme pour satisfaire ,leurs clients américains par exemple ..

ce qui au pire était une exploitation de l'homme par l'homme, est devenu une économie ou l'homme en lui même a totalement disparu ..

a quoi sert aujourd'hui aux ingénieurs de valéo de se donner a fond de faire fructifier l'usine , alors qu'ils sont sur le point d'étre racheter et qu'un plan social va être mis en place ..


un autre exemple. il y a une entreprise 3eme de son secteur mondial , premiére en europe. C'est celle qui édicte les tickets restaurants et cheque vancances. Chaque salarié posséde une voix au conseil d'administration. Le pdg ne gagne pas plus de 7500 euro ce qui lui convient trés bien. Cet entreprise fait de trés gros profits. Les salariés profitent de conditions trés bonne de travail . Elle ne peut être délocalisé sans que tous les employés soient d'accord , ni rachetés par un fond de pension ..

Pourtant elle est térs compétitive , c'est un fleuron francais dans son secteur et continue a grapiller de plus en plus de part de marché.

Mais bon il parait qu'elle est anachronique comme société ..

je n'ai écouté aucun candidat se prononcer sur ce néo capitalisme ou alors avec de grandes pharse ou généralités.
shadow_gallery
C'est pas du calimérisme (Ségolène Royal inside), je m'étonne juste qu'il y aie si peu de reconnaissance du métier d'entrepreneur. Là dessus, je suis d'accord avec Bazzman, il y a une méconnaissance totale du métier d'entrepreneur en France.
Quand j'entends le mot culture, je sors mon revolver.
Ïvguenyp
shadow_gallery a écrit :
C'est pas du calimérisme (Ségolène Royal inside), je m'étonne juste qu'il y aie si peu de reconnaissance du métier d'entrepreneur. Là dessus, je suis d'accord avec Bazzman, il y a une méconnaissance totale du métier d'entrepreneur en France.


je suis d'accord avec toi ....

mais encore une fois la façcon de fonctionner du capitalisme moderne ne permet pas une véritable connaissance de cette profession ...

En ce moment sur backstage...