Blow Up a écrit :
Les traces de coke aujourd'hui ça se détecte pendant 3 mois avec un cheveu.
Si on lui avait fait un test quand il s'est fait serrer, ça aurait coûté moins cher au contribuable (et à l'engorgement des tribunaux) qu'un procès en appel, avec des avocats de luxe qui connaissent les failles pour obtenir un non-lieu si on y met le prix.
Pour le post plus haut. Il y a une jurisprudence même plus large. Avec un flou entre la vie privée et professionnelle.
Je ne suis pas juriste, mais je me souviens en avoir discuté pour un film avec un magistrat et des syndicalistes. Vu qu'il y a de plus en plus de consommateurs et de condamnations, c'est un motif de licenciement qui est de plus en plus utilisé et qu'on ne voyait pas avant.
Je demanderai des précisions ou des textes, mais ça n'arrivera pas tout de suite, il travaille plus que moi, il a moins le temps.
Ça se voyait peu il y a 30 ans parce que les gens fumaient peu et se shootaient encore moins. Ils buvaient. La tendance s'étant inversée, c'est un problème qui se rencontre de plus en plus en entreprise ou en association, alors qu'il y a de moins en moins de gars bourrés au travail. La jurisprudence sur la conso hors boulot est claire, c'est la même pour tous les sujets vie privée. Le seul "flou" c'est que hors les cas du type qui deale ou qui est stone au boulot, le juge apprécie si les faits troublent objectivement l'entreprise et c'est au cas par cas (comme le type qui montre sa bite sur internet, ça causera un trouble objectif dans une école et pas dans une usine).