BiZ a écrit :
Lykan a écrit :
Non mais faut arrêter, je suis sûr que bobba (désolé de prendre pour exemple) ne roulera jamais à plus de 50km/h en ville, parce que l'état dit que c'est la limite. Même si on est en plein campagne, pas un chat, l'état a dit que c'etait dangereux au dessus alors je dépasse pas.
J'ai faux ?
Je vais te surprendre, mais quand je fais St michel chez moi par les petites rues à Paris, c'est limité à 50 mais je roule à 40 voire moins. Parce que c'est mégaaaa dangereux, le moindre piéton et vélo que t'as pas vu traverse et il est pour toi. La même chose peut t'arriver dans une ville de campagne apparemment déserte. Et oui quitte à passer pour un con, quand c'est marqué 50 je roule à 50 et je suis sûr que bobba fait pareil. En même temps dans la bagnole, on sait qu'on doit respecter le code de la route, on est pas là pour jouer pas les rebelles ou les anticonformistes!
La différence avec les autres pays est flagrante. Non seulement en Allemagne mais aussi ailleurs: tous les pays nordiques, où tu te sens en sécurité en tant que piéton ce qui n'est archi pas le cas à Paris.
Moi c'est pire, je roule à 50 au compteur, donc 46km/h environs... De meme que je ne depasse quasiment jamais le 100 au compteur (donc 90) en region parisienne.
Pourquoi ? Je sais pas... Je vois pas l'interet d'aller plus vite. J'arriverais pas plus tot (dingue ça hein ?) je consommerais plus, et ça me fatiguerais plus.
Lykan a écrit :
Tu prends l'exemple de l'allemagne, pourquoi certains tronçons sont illimité en vitesse ? Les routes sont plus sûrs??
Oui
Citation:
Les piétons sont moins cons ?
Aussi. Bien plus discipliné qu'en france en tout cas.
Citation:
Les lièvres regardent avant de traverser ??
Non c'est juste ceux qui ont défini les loi qui sont différent. Et c'est bien ça que j'essai de faire comprendre.
La sécurité (ou plutôt l'insécurité) elle, est la même dans n'importe qu'elle payset quelque soit la vitesse.
Aille... T'as jamais conduit au portugal toi.
"En fait on peut se demander si le mot 'télévision' est celui qui correspond à cette circulation extraordinaire, nouvelle, libre des images et des sons que l'on peut imaginer pour l'avenir. Tout ce que vous voyez arriver par le canal de ce câble, implique une participation active de chacun. Au fond, on ne trouve pas de mot. J'attend que des professionnels de la langue trouvent un mot nouveau qui définira très bien cette possibilité extraordinaire de circulation des informations."
Jean D'Arcy, 1969