Star wars

Rappel du dernier message de la page précédente :
barbitare
ah oui la version plus dark ça fait envie sur le papier quand même !
genre l'armée du crime


j'ai toujours vu la rébellion contre l'empire comme une version science fiction de la résistance contre le III reich
rien qu'au niveau des tenues ça en dit long ...

SW :

http://images.google.fr/imgres(...)=1644

III reich :

http://images.google.fr/imgres(...)=1644
on second tought, let's not go to Camelot : it's a silly place !
- le roi Arthur
GuitaristeX
barbitare a écrit :
GuitaristeX a écrit :
Bon je sors de Rogue one.

Excellent. Pas grand chose à rajouter, un superbe final !


oui j'ai aussi passé un bon moment de cinéma en le regardant ; ça valait le coup d'aller le voir au ciné c'est dommage de laisser passer ça sur grand écran avec gros son

en sortant, on n'a qu'une envie : se mettre le IV en dvd à la maison


C'était fait direct après xD
barbitare
manulonch a écrit :
J'ai lu y'a longtemps les sources d'inspirations de Lucas pour SW,
c'est intéressant à lire.

Ben alors : tu nous laisses comme ça, sans développer ?
vas y
on second tought, let's not go to Camelot : it's a silly place !
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coyote
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Flash Gordon, le Cinema asiatique, surtout japonais (les 7 samouraïs est un film qui a marqué les cinéastes américains de cette génération), les films d'Universal Pictures, les comics, la seconde guerre mondiale et Héros aux mille et un visages de Campbell. un bouquin que j'ai toujours eu l'intention de lire, mais je n'y pense que lorsque j'en parle. Nous avons là l'essentiel.
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barbitare a écrit :

oui j'ai aussi passé un bon moment de cinéma en le regardant ; ça valait le coup d'aller le voir au ciné c'est dommage de laisser passer ça sur grand écran avec gros son

en sortant, on n'a qu'une envie : se mettre le IV en dvd à la maison


Oui, au niveau de l'ambiance c'est assez réussi et la contiguité avec l'épisode IV est très sympa j'ai trouvé. Etant moi même très critique envers l'ep 7, je suis sorti du ciné pas mécontent au final. Le rythme ne m'a pas gêné, en fait ça ressemble plus à un film de guerre sur des étoiles qu' à un film de la Guerre des Etoiles . Moins d'enjeux, moins prise de tête, = moins de déception peut être.
You can kiss my axe !
stege106
arretez un peu de tout mettre sur la créativité de Lucas, la plupart des costumes lui ont étés soumis par des illustrateurs et des maquilleurs (Ralph McQuarrie , Wendy Froud...) , puis choisit par Lucas ou ses assistants...seuls qq personnages sont issus de ses consignes (vagues et modifiés)...

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Dans l'esprit de Lucas en 1976, l'apparence des chevaliers Jedi est proche des samouraïs de l'ère Ère Meiji. George Lucas voulait faire du maléfique Dark Vador (par ailleurs déjà nommé « Seigneur Noir des Sith » dans le script original2) un guerrier plus oriental, portant un habit en tissu sombre à la façon des nomades touaregs, inspiré par Lawrence d'Arabie. Au début de l'intrigue de l'Épisode IV, Vador doit débarquer à bord du vaisseau de la princesse Leia avec un masque. L'illustrateur Ralph McQuarrie amplifie cette idée en revêtant intégralement le seigneur Noir d'une armure spatiale et d'un casque. Ainsi, la forme du masque de Dark Vador s'inspire du Kabuto ainsi que du Menpō japonais. Lucas y voit certaines similitudes avec le casque allemand de la Seconde Guerre mondiale et conserve l'idée. Il pense même faire appel à l'acteur japonais Toshirō Mifune (Les Sept Samouraïs) pour le rôle, mais ce dernier refuse, prétextant qu'il ne veut pas jouer dans un film pour enfants.
Dark Vador devient ainsi un redoutable cyborg, mi homme mi-machine. Il n'est pas encore clair dans l'esprit du jeune cinéaste si Vador n'est qu'un simple méchant ou la clef de son opéra spatial. Il préfère se concentrer sur les aventures du fermier Luke Skywalker, suivant le schéma universel du voyage du héros de l'historien Joseph Campbell. Ce n'est que dans L'Empire contre-attaque, qu'il décide de faire de Dark Vador une figure tragique, un pantin entre les mains d'un sorcier Empereur.
Dans le film La Revanche des Sith, c'est l'Empereur qui baptise Vador, mais ni dans le film ni dans la novélisation l'origine de ce nom n'est expliquée. Le nom Dark Vador est issu du doublage français de 1977, le nom original du personnage étant Darth Vader.
En 2005, Lucas a livré une clé pour mieux comprendre ce personnage fort complexe 4. Selon le créateur de Star Wars, il faut comprendre qu'Anakin n'est pas réellement un traître : lorsqu'il devient Dark Vador, il continue d’être l’Élu de la Prophétie Jedi. On pourrait même affirmer, dans un sens, qu'Anakin devait indubitablement devenir Dark Vador afin d'accomplir la Prophétie. Car en devenant un Sith, il s'est retrouvé en position d'anéantir les derniers représentants de cette lignée maléfique : l'Empereur Palpatine et lui-même.
Le souffle caractéristique a été enregistré grâce à un micro installé dans un appareil servant à la plongée sous-marine.

L'apparence de C-3PO serait inspirée de l'androïde Maria du film Metropolis de Fritz Lang. Cependant, dans l'aspect définitif, il est clairement traité comme un personnage masculin . Mais sur les premiers dessins il était un personnage féminin.


Pour sa saga, George Lucas a puisé de nombreuses sources d'inspiration dans les livres notamment John Carter, films et séries qui l'ont marqué. Les cycles d'Isaac Asimov posent ainsi les bases de sa conception des droïdes, mais également l'idée de planètes-villes comme Coruscant. Un autre classique de la science-fiction inspire particulièrement le réalisateur : les serials des années 1930, notamment Flash Gordon — c'est de là que Lucas tire ses titres (lui-même revendique cet amour pour les titres de type La revanche de... et ainsi de suite) et les textes déroulants au début des films. De même, plusieurs personnages de Star Wars exploitent des stéréotypes déjà vus dans ces serials. Le cinéma d'Akira Kurosawa, notamment son film La Forteresse cachée, inspire également particulièrement le réalisateur, tant sur le fond que sur la forme. C'est en effet de ce film qu'il tire l'idée de centrer une partie de l'intrigue sur les deux personnages les plus insignifiants (les deux droïdes, principalement dans l'épisode IV), mais Lucas s'en inspire aussi pour les volets qui se rabattent sur l'image pour servir de transition entre deux scènes, typique du cinéma de la première moitié du xxe siècle.
L'inspiration vient également d'autres types de cinéma. Le western est ainsi à l'origine de certaines scènes, notamment sur Tatooine, tandis que le polar inspire le début de l'épisode II. Le péplum joue également un rôle, notamment à travers la course qui occupe une place centrale dans La Menace fantôme et qui est directement inspirée de la course de chars de Ben Hur. Les films de guerre et de pirates inspirent également de nombreuses scènes : l'attaque sur l'Étoile Noire est réalisée par Lucas à l'aide d'extraits de films représentant la Seconde Guerre mondiale dans les airs pour guider le travail des sociétés d'effets spéciaux ; tandis que l'assaut sur Kashyyyk dans l'épisode III s'inspire du film Il faut sauver le soldat Ryan.
Star Wars s'est aussi inspiré de l'univers graphique de la bande dessinée Valérian et Laureline de Jean-Claude Mézières. Lorsque fut projeté pour la première fois en France Star Wars, épisode IV : Un nouvel espoir, Mézières déclara à la fin de la projection : « On dirait une adaptation de Valérian au cinéma. »
L'inspiration est, enfin, littéraire : l'étude anthropologique de Joseph Campbell Le Héros aux mille et un visages et la légende arthurienne sont une de ses principales sources pour créer les archétypes de son histoire, comme le jeune et pauvre héros appelé à l'aventure, le vieil ermite qui le prend sous son aile, la princesse en détresse... Le Seigneur des anneaux de J. R. R. Tolkien est également une grande source d'inspiration pour George Lucas : les deux sagas partagent une trame très proche et des personnages assez semblables (Obi-Wan Kenobi et Gandalf, par exemple), mais aussi des procédés narratifs similaires (par exemple rapporter l'histoire d'amour de protagonistes hors du récit : Leia épouse Han Solo dans un livre de l'univers étendu, Aragorn et Arwen voient leur idylle relatée dans les appendices du livre).

George Lucas s’est également inspiré de la réalité, notamment de faits historiques. Outre les scènes de combats spatiaux inspirées des films sur le Blitz, le réalisateur s'est entre autres inspiré du Moyen Âge occidental, de l'histoire et des philosophies d'Extrême Orient. Ainsi, les Jedi ont une philosophie teintée de bouddhisme, tandis que le casque de Dark Vador a été inspiré au dessinateur Ralph McQuarrie par ceux des samouraïs. Lucas explique également s'être inspiré, pour la progressive ascension de Palpatine et la transition de République à Empire, de ce qui est arrivé à Jules César, Napoléon Bonaparte et Adolf Hitler. Il admet aussi que l'Empire dépeint dans les premiers films s'est inspiré de l'époque de Richard Nixon et de la guerre du Viêt Nam, qui l'a poussé à s'interroger sur la façon dont une démocratie peut se transformer en dictature. En 2005, Lucas a également déclaré : « J'espère qu'on ne le vivra pas dans notre pays ; peut-être que le film pourra réveiller les gens aux États-Unis, notamment face aux menaces contre la démocratie. »
Lucas s'est par ailleurs inspiré de faits de la vie quotidienne. Ainsi, l'idée d'un copilote alien, Chewbacca, lui est venue par sa chienne, de taille imposante, qui se tenait souvent sur le siège passager lorsqu'il conduisait à l'époque. De même, le nom de Jar Jar Binks est venu d'un nom inventé par un des enfants du réalisateur. Le court-métrage George Lucas in Love réalisé par Joe Nussbaum, parodie de Shakespeare in Love, montre d'ailleurs un jeune George Lucas s'inspirant du contexte du campus qui l'entoure pour créer l'ambiance de son premier film. Bien que parodique, ce film a été très apprécié, y compris par le réalisateur.
barbitare
manulonch a écrit :
Faudrait que je retrouve l'article,
mais pour ça faudrait que je cherche...
Mais j'ai la flemme


la flemme est le plus court chemin vers le côté OBSCUUUR de la forme
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- le roi Arthur
barbitare
stege106 a écrit :
Selon le créateur de Star Wars, il faut comprendre qu'Anakin n'est pas réellement un traître : lorsqu'il devient Dark Vador, il continue d’être l’Élu de la Prophétie Jedi. On pourrait même affirmer, dans un sens, qu'Anakin devait indubitablement devenir Dark Vador afin d'accomplir la Prophétie. Car en devenant un Sith, il s'est retrouvé en position d'anéantir les derniers représentants de cette lignée maléfique : l'Empereur Palpatine et lui-même.


alors ça, c'est très intéressant comme concept car ça renvoie au cycle d'Elric de M. Moorcok que j'adore.
c'est l'inventeur du concept de la lutte cosmique entre la Loi et le Chaos (c'est à dire l'ordre contre le désordre, la science contre la magie qui ne se résume pas à une lutte manichéenne bien vs mal mais plus taoïste).
le Héros Elric naît empereur d'une nation chaotique (sacrifices humains, invocation de démons) pourtant à la fin c'est lui l'élu qui détruit le chaos car il n'y a qu'une créature chaotique pour comprendre la nature réelle du chaos et le détruire par ses propres armes : une épée chaotique (stormbringer) et un bouclier du chaos.
il devient agent de la balance cosmique, cette sorte d'équilibre vital entre la stagnation totale (la loi) et le mouvement perpétuel (le chaos); il en est malheureux, comme Anakin il se sent un pantin manipulé par des forces qui le dépassent.

en fait ce que j'aime dans cette idée de conflict cosmique c'est que si la loi gagne, elle étouffe tout, c'est trop rigide..
si le chaos gagne, tout se détruit au fur et à mesure que ça se construit car c'est trop instable..
en fait ces forces existent pour lutter mais pas pour gagner, et cette idée de juste milieu recèle une sagesse que je trouve admirable, qui fait de ce cycle de fantaisie une perle !
(j'ai aussi beaucoup joué au jeu de rôle issu de cet univers qui s'appelle STORMBRINGER)
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- le roi Arthur
stege106
le concept d'apprendre du mal pour connaitre, devenir plus fort et le détruire n'est pas neuf dans une saga (merlin, les héros antiques, les sorciers et la magie noire..)..., une renaissance vers la lumière, un passage en forme de rite pour completer la formation ultime ... ou mourir pour renaître (comme Gandalf le gris). souvent les héros doivent connaitre leur part de ténèbres et la maîtriser ...ou disparaître

le passage de Anakin a juste été plus long que prévu...mais il a souvent fait part de son intention de détruire l'empereur... même si tous les sith veulent tuer leur maître.

mais dans l'univers légende (ancien univers étendu), des autres jedi avaient fait l'expérience du coté obscure ...ils étaient appelés jedi gris...Qui-Gon était l'un d'eux.
-Dans les films, le compte Doku a d'ailleurs dit à Obi-Wan que si Qui-Gon était vivant, il rejoindrait le coté obscure...et c'est aussi Qui-Gon, qui d'après Yoda, arrive à communiquer depuis l'au delà (technique venant du pouvoir du coté obscure)....et c'est aussi Qui -Gon qui insiste pour former Anakin.

l'équilibre de la force n'est-elle pas l'équilibre entre les 2 cotés de celle-ci ...

c'est aussi curieux dans l'épisode 7 , les 2 cotés d'Anakin sont présent...dans le masque de Vador (auquel Kylo semble vouloir communiquer) et dans le sabre d'Anakin (qui communique avec Rey).

tant qu'il y aura 2 camps dans cette galaxie lointaine, très lointaine, il y aura la guerre....et seule la destruction d'un des camps y mettra fin...à moins que les 2 cotés de la force s'unissent.
Sitael
  • Custom Ultra utilisateur
stege106 a écrit :
... des autres jedi avaient fait l'expérience du coté obscure ...ils étaient appelés jedi gris...Qui-Gon était l'un d'eux..


Tous bon sur le reste (et pas forcément tord là dessus non plus), mais ta définition du Jedi Gris est incomplète.

Il peut s'agir d'un Jedi qui considère que la Force n'a pas de côté (donc le côté obscur ou le côté clair, ça n'existe pas), d'un Jedi qui a sa propre vision de la Force (le conseil suivant la théorie de la Force unificatrice, et Qui Gon étant un adepte de la Force Vivante (ce qui fait de lui un Jedi Gris !)).
Vive Star Wars 8
barbitare
stege106 a écrit :
le concept d'apprendre du mal pour connaitre, devenir plus fort et le détruire n'est pas neuf dans une saga (merlin, les héros antiques, les sorciers et la magie noire..)..


heuuu, oui merci on se doutait bien que tout n'avait été inventé au XXIe siècle !

merlin, c'est Disney qui l'a inventé en 1963 ?

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barbitare
stege106 a écrit :
une renaissance vers la lumière, un passage en forme de rite pour completer la formation ultime ... ou mourir pour renaître (comme Gandalf le gris). souvent les héros doivent connaitre leur part de ténèbres et la maîtriser ...ou disparaître


ça, je pense c'est une allusion aux rites initiatiques des sociétés secrètes
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