Skelter a écrit :
Ah la malediction du dernier post de la page
Oué, c'est d'un ch*ant
Pour le gamin qui roule une pelle au cochon, quand il apprendra qu'on lui fait ingurgiter du cadavre déguisé à tous les repas depuis un bail, il sera sans doute trop tard...
TimeBomb a écrit :
Redstein a écrit :
Comme le disait Lamartine, on n'a pas un coeur pour les (animaux) humains et un pour les animaux (non humains) : on a du coeur ou on n'en a pas.
Remarque il a aussi écrit :
"La plus belle attitude de l'homme c'est de se tenir debout devant ses semblables, à genoux devant Dieu."
Vi, le ptit jeu des citations a ses limites... c'est bien pour ça qu'il faut être sélectif
quantat, on est d'accord, l'empathie doit être maîtrisée, sinon elle devient incapacitante.
Cela dit, sans empathie, pas de compassion :
Ces trois dimensions — l'amour de l'autre, l'empathie (qui est résonance avec la souffrance d'autrui) et la compassion — sont naturellement reliées. Au sein de l'amour altruiste, l'empathie se manifeste lorsque l'on se trouve confronté aux souffrances des êtres, confrontation qui engendre la compassion (le désir de remédier à ces souffrances et à leurs causes). Ainsi lorsque l'amour altruiste passe au travers du prisme de l'empathie, il devient compassion.
Et le carnisme, c'est précisément l'absence d'empathie, et donc de compassion... pour les quelques espèces d'êtres sensibles qu'on nous a conditionnés à manger.
En parlant de moralité : sachant que la chair animale n'est en rien nécessaire à une nutrition adaptée, qu'y a-t-il de moral dans le fait de zigouiller ces êtres sensibles par milliards et milliards pour une raison et une raison seulement : le plaisir gustatif ?
'Human beings. You always manage to find the boring alternative, don't you?'
http://fermons-les-abattoirs.org
- Quand Redstein montre l'abattoir, l'imbécile regarde Redstein - (©Masha)