Bob Dylan et Mark Knopfler pour deux dates en France

Rappel du dernier message de la page précédente :
straoul
smog : Oui, on a vraiment eu droit à du "Dylan Garage" ! ... et moi çà m'a régalé !
straoul
... Pour le guitariste Lead, il s'agit de Charlie Sexton

Ce serait un artiste (... également compositeur/chanteur ) aux styles variés d'après "Kiki péd"

... Je vais m'y intéresser un peu pour voir ...

http://www.myspace.com/charliesexton


smog
  • #17
  • Publié par
    smog
    le 18 Oct 11, 21:00
Oui, ça fait quelques années maintenant qu'il accompagne le Zim. Comme le bassiste, Tony Garnier, qui était déjà là à l'époque d'Unplugged. Et qui en a accompagné plus d'un...

Franchement, pour être rapide sur ce concert : Dylan n'est plus le Dylan des 60's, des 70's (ma période préférée) et je conçois que pour quelqu'un qui n'admire ni sa musique ni le personnage, un concert de ce style ne peut être que décevant. Mais pour un fan dont je fais partie, habitué des frasques du père Dylan, je considère que la nuit d'hier était à placer dans le haut du panier... Une voix (certes pas à la hauteur d'il y a 40 ans !) tout à fait au niveau de ses enregistrements studio récents, une "pêche" sur scène, et des arrangements de qualité (avec quand même beaucoup de classiques - revisités, mais classiques...)

Pour moi, les regrets (immenses) :
- pas de morceaux en commun (et pourtant, entre Slow Train Coming et Infidels, il y avait de quoi rendre le set inoubliable - avec le côté mélange des légendes) ; et quand auront-ils encore la possibilité de croiser leurs guitares ? Je ne sais pas si le Zim va pouvoir continuer encore longtemps...
- Pas de morceau acoustique pour Dylan, et l'orgue Bontempi, à la longue, c'était parfois un peu trop...
- un son toujours aussi discutable dans cette salle.


Mais franchement on était je pense dans un bon cru. Et ils ont été à la hauteur de ce qu'on peut attendre de deux papys de 60 et 70 ans, non ? Même bien mieux - selon moi, pour le Bob.
En tous cas pour moi le frisson était là. Dylan, c'est (pour paraphraser Chuck Prophet), celui vers qui toute la musique que j'aime finit par converger : "tout mène à Dylan".

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