Salut, avec Zhorhann on enregistrait il y a quelques mois une reprise de la chambre jaune de M’Z
Voilà qu’elle est disponible en single et en écoute sur toutes les plateformes ici : album.link/frm2bcqqpcjz7
Merci Luminol Records pour la distribution et la confiance
Merci Hugo Lemercier pour le mix
Pour le contexte :
C’est une reprise extraite de l’album prisme de M’Z, qui se concentre sur les concepts, et utilise la contrainte pour conter ses histoires.
La réflexion est centrée autour de la notion de Prisme.
Le but est de créer des parallèles entre les couleurs et les modes musicaux (couleurs musicales), mais c’est aussi un prétexte pour narrer une histoire plus personnelle en parallèle.
Une autre des idées motrices de ce projet est que tout est inévitablement interprété, nous aurons beau essayer d’approcher une vérité totalement objective, avec acharnement ce ne sera jamais vraiment le cas.
Ce projet essaie de décomposer chaque particule, d’analyser chaque atome, mais chaque fois qu’il essaie de retranscrire un message, il sera biaisé par la traduction que fabriquent ses propres prismes et filtres d’analyse.
En dépit des efforts qu’il mène pour trouver un point de vue objectif, il ne peut qu’admettre que ses sentiments influenceront systématiquement ses décisions et réflexions.
Il en sera de même pour le style, tout en cherchant à ne pas aborder qu’une seule esthétique et mélangeant toutes ses influences, il se rendra vite compte que la fusion même avec un esprit ouvert reste une sorte d’étiquette musicale.
M étant la guitare Z, la machine, l’idée est aussi de créer un pont entre la musique organique et électrique/électronique, un pont entre le code et son acceptation comme la nécessité de sortir du code. Sortie le 27 décembre 2017 en auto prod.
Cette chanson, plus particulièrement, parle de la couleur jaune. C’est la réaction de nos émotions quand on essaye de les nier et qu’on tente de les enfouir très profondément, alors, elles se sentiront rejetées et essayeront à nouveau, de captiver notre attention. Si bien enfouies elles parviendront à communiquer avec notre subconscient qui règne en ces lieux, de concert avec cet ami étrange, ils sauront alors jouer avec notre état de conscience et nous serons contraints d’adopter des comportements qui nous rapprocheront de la folie, jusqu’à ce qu’on arrive à trouver enfin, un moyen de mieux traiter ces émotions-là, jusqu’ici incomprises, inécoutées et rejetées.
En attendant l’album que nous finissons actuellement de mixer voilà de quoi se mettre sous l’oreille...
Impatient d’avoir vos retour la dessus
Voilà qu’elle est disponible en single et en écoute sur toutes les plateformes ici : album.link/frm2bcqqpcjz7
Merci Luminol Records pour la distribution et la confiance
Merci Hugo Lemercier pour le mix
Pour le contexte :
C’est une reprise extraite de l’album prisme de M’Z, qui se concentre sur les concepts, et utilise la contrainte pour conter ses histoires.
La réflexion est centrée autour de la notion de Prisme.
Le but est de créer des parallèles entre les couleurs et les modes musicaux (couleurs musicales), mais c’est aussi un prétexte pour narrer une histoire plus personnelle en parallèle.
Une autre des idées motrices de ce projet est que tout est inévitablement interprété, nous aurons beau essayer d’approcher une vérité totalement objective, avec acharnement ce ne sera jamais vraiment le cas.
Ce projet essaie de décomposer chaque particule, d’analyser chaque atome, mais chaque fois qu’il essaie de retranscrire un message, il sera biaisé par la traduction que fabriquent ses propres prismes et filtres d’analyse.
En dépit des efforts qu’il mène pour trouver un point de vue objectif, il ne peut qu’admettre que ses sentiments influenceront systématiquement ses décisions et réflexions.
Il en sera de même pour le style, tout en cherchant à ne pas aborder qu’une seule esthétique et mélangeant toutes ses influences, il se rendra vite compte que la fusion même avec un esprit ouvert reste une sorte d’étiquette musicale.
M étant la guitare Z, la machine, l’idée est aussi de créer un pont entre la musique organique et électrique/électronique, un pont entre le code et son acceptation comme la nécessité de sortir du code. Sortie le 27 décembre 2017 en auto prod.
Cette chanson, plus particulièrement, parle de la couleur jaune. C’est la réaction de nos émotions quand on essaye de les nier et qu’on tente de les enfouir très profondément, alors, elles se sentiront rejetées et essayeront à nouveau, de captiver notre attention. Si bien enfouies elles parviendront à communiquer avec notre subconscient qui règne en ces lieux, de concert avec cet ami étrange, ils sauront alors jouer avec notre état de conscience et nous serons contraints d’adopter des comportements qui nous rapprocheront de la folie, jusqu’à ce qu’on arrive à trouver enfin, un moyen de mieux traiter ces émotions-là, jusqu’ici incomprises, inécoutées et rejetées.
En attendant l’album que nous finissons actuellement de mixer voilà de quoi se mettre sous l’oreille...
Impatient d’avoir vos retour la dessus
