guito a écrit :
Keelor a écrit :
Et il ne faut surtout pas faire comme le dit tibboh, à savoir le poser sur la caisse. C'est une erreur monumentale.
ca n est pas forcement une erreur si chacun trouve son compte ou que soit son appuis
ex: mark knopfler le fait donc lui il y trouve son compte
pour ce qui est de l auriculaire je ne l utilise jamais quand je joue classique par contre quand je joue au mediator je l utilise quand je melange jeu aux doigts et mediator en même temps,ce n est qu une question d habitude
Si on devait tous repecter les mêmes positions de jeu il y aurait un paquet d artistes reconus qui seraient dans l erreur vu les positions que certains ont des fois en jouant ,certains reposent la main sur le chevalet ,dautres avec un doigt sur la caisse et d autres ne posent rien du tout .Etant donné que nous sommes tous morphologiquement differents ce serait domage et regrettable d imposer a tous la même façon de se positionner pour jouer
C est le même genre de debat que l on recontre sur la tenue de mediator et le probleme est le même
sans vouloir rentrer dans une polemique car ce type de debat a dejas eu lieu et aura encore lieu
En l'occurence tibboh répondait à un post sur la guitare classique. Et il est vraiment peu pratique de jouer de la guitare classique avec l'auriculaire sur la caisse.
Il est vrai que nous sommes tous morphologiquement différents. La technique doit tenir compte de cette morphologie. Cependant, je doute très fortement qu'il soit morphologiquement possible de jouer de la guitare classique à haut niveau en posant l'auriculaire sur la caisse. En effet dans cette position, l'annulaire est inutilisable, ou dans le meilleur des cas utilisable sur la 1ere corde. Et l'index et le majeur dépassent à grand'peine la 2e corde, ce qui force à jouer au pouce les trois cordes basses.
J'ajoute qu'un forte extension des doigts de la main droite est requise dans cette position, ce qui ne peut que créer des tensions et être une entrave à la vélocité et à la recherche timbrale (puisque la main est fixe).
Trop de souplesse et de mobilité sont requises en classique pour songer à fixer la main en lui donnant un point d'appui aussi ferme.