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COVID-19 Le topic du Coronavirus

Rappel du dernier message de la page précédente :
casseoreille
Tout au long de ce confinement, je pense comme toi, et j'en suis sûr, qu'autant de comportements bénévoles me surprennent jusqu'à l'émotion, autant de comportements choquants et malhonnêtes, me poussent à l'indignation et à la répulsion.
Biosmog
totoleheron a écrit :
Ca m'affiche la moitié du texte sans message d'avertissement.

On est limité en caractères?


Non je crois qu'il y a des combinaisons de caractère qui font bugger le message et le coupe. Ça m'est déjà arrivé. Mais je ne me rappelle plus des quelles (avec des pourcents ou des parenthèses)

Sinon, tu te fatigues pour rien toto, il y a des gars compétents dans le domaine qui ont déjà produit des critiques solides sur l'ensemble du papier, il y a eu une pétition à Elsevier, qui a affiché un message d'avertissement sur son site, disant que l'étude est très controversée et soumise à une review supplémentaire. Le monde scientifique est encore circonspect sur la Chloroquine, mais sur ces publications, il n'y a pas le moindre doute qu'elles n'ont aucune valeur.
Vous battez pas, je vous aime tous
totoleheron
super_taz a écrit :
totoleheron a écrit :
Il y avait aussi dans cette première étude un groupe contrôle, depuis c'est de facto les patients traités dans les autres unités marseillaise. Il sera facile de faire un rapprochement statistique.

non, car on ne connait pas comment il a choisi son echantillon. Imaginons que le virus ne tue que les hommes. Il choisit un echantillon de femmes et leur administre un placebo. Son taux de guerison sera de 100%, et on comparera avec les resultats des patients des autres unites: a peu pres 50%.
faut il conclure que le placebo est efficace?

c'est cette complexite qui explique le besoin de rigueur et de transparence dans ces etudes medicales


Mais eux le savent et ils peuvent très facilement faire un rapprochement statistique.


Qaund tu as des personnes qui te disent que la chloroquine est dangereuse...Tu prends tes précautions pas besoin de donner du grain à moudre sachant que le grand public n'y comprendra rien.
totoleheron
Biosmog a écrit :
totoleheron a écrit :
Ca m'affiche la moitié du texte sans message d'avertissement.

On est limité en caractères?


Non je crois qu'il y a des combinaisons de caractère qui font bugger le message et le coupe. Ça m'est déjà arrivé. Mais je ne me rappelle plus des quelles (avec des pourcents ou des parenthèses)

Sinon, tu te fatigues pour rien toto, il y a des gars compétents dans le domaine qui ont déjà produit des critiques solides sur l'ensemble du papier, il y a eu une pétition à Elsevier, qui a affiché un message d'avertissement sur son site, disant que l'étude est très controversée et soumise à une review supplémentaire. Le monde scientifique est encore circonspect sur la Chloroquine, mais sur ces publications, il n'y a pas le moindre doute qu'elles n'ont aucune valeur.


Il y a des personnes malhonnêtes qui racontent n'importe quoi!

Affirmer qu'ils ont tenté de soustraire des patients de l'étude alors que tout est clairement détaillé et que ce sont des patients qui n'ont pas pu suivre l'étude du début à la fin c'est crapuleux!
totoleheron
Biosmog a écrit :
En plus sans groupe témoins, les patients de Raoult effectuant les prélèvements de test eux-mêmes (encore un truc incroyable...), le nombre de négatifs doit être énorme.


Faux, les patients se sont présentés tous les jours pendant 14 jours pour subir un examen et si possible un prélèvement.

C'est diffamatoire. Comment tu fais pour inventer des trucs pareils?

Dans le texte.

"Patients were seen at baseline for enrolment, initial data collection and treatment at day-0, and again for daily follow-up during 14 days. Each day, patients received a standardized clinical examination and when possible, a nasopharyngeal sample was collected. All clinical data were collected using standardized questionnaires. All patients in Marseille center were proposed oral hydroxychloroquine sulfate 200 mg, three times per day during ten days (in this preliminary phase,we did not enrolled children in the treatment group based in data indicating that children develop mild symptoms of COVID-19 [4]). Patients who refused the treatment or had an exclusion criteria, served as controls in Marseille centre. Patients in other centers did not receive hydroxychloroquine and served as controls. Symptomatic treatment and antibiotics as a measure to prevent bacterial super-infection was provided by investigators based on clinical judgment. Hydroxychloroquine was provided by the National Pharmacy of France on nominative demand."

"Les patients ont été vus au départ pour l'inscription, la collecte initiale de données et le traitement au jour 0, puis pour le suivi quotidien pendant 14 jours. Chaque jour, les patients ont subi un examen clinique standardisé et, lorsque cela était possible, un échantillon nasopharyngé a été prélevé. Toutes les données cliniques ont été recueillies à l'aide de questionnaires standardisés. Tous les patients du centre de Marseille se sont vu proposer du sulfate d'hydroxychloroquine par voie orale à raison de 200 mg, trois fois par jour pendant dix jours (dans cette phase préliminaire, nous n'avons pas inscrit les enfants dans le groupe de traitement sur la base de données indiquant que les enfants développent des symptômes légers de COVID-19 [4]). Les patients qui ont refusé le traitement ou qui avaient un critère d'exclusion, ont servi de contrôle dans le centre de Marseille. Les patients des autres centres n'ont pas reçu d'hydroxychloroquine et ont servi de témoins. Le traitement symptomatique et les antibiotiques comme mesure de prévention de la surinfection bactérienne ont été fournis par les enquêteurs sur la base d'un jugement clinique. L'hydroxychloroquine était fournie par la Pharmacie nationale de France sur demande nominative."
totoleheron
(Suite/traduction de l'étude préliminaire)

Ce qui est dit sur cette étude est purement diffamatoire.

Bon la suite de l'étude passe....Pour ceux que ca intéresse.

2.4. Procédure
Les patients ont été vus au départ pour l'inscription, la collecte initiale de données et le traitement au jour 0, puis pour le suivi quotidien pendant 14 jours. Chaque jour, les patients ont subi un examen clinique standardisé et, lorsque cela était possible, un échantillon nasopharyngé a été prélevé. Toutes les données cliniques ont été recueillies à l'aide de questionnaires standardisés. Tous les patients du centre de Marseille se sont vu proposer du sulfate d'hydroxychloroquine par voie orale à raison de 200 mg, trois fois par jour pendant dix jours (dans cette phase préliminaire, nous n'avons pas inscrit les enfants dans le groupe de traitement sur la base de données indiquant que les enfants développent des symptômes légers de COVID-19 [4]). Les patients qui ont refusé le traitement ou qui avaient un critère d'exclusion, ont servi de contrôle dans le centre de Marseille. Les patients des autres centres n'ont pas reçu d'hydroxychloroquine et ont servi de témoins. Le traitement symptomatique et les antibiotiques comme mesure de prévention de la surinfection bactérienne ont été fournis par les enquêteurs sur la base d'un jugement clinique. L'hydroxychloroquine était fournie par la Pharmacie nationale de France sur demande nominative.

2.5. Classification clinique
Les patients ont été regroupés en trois catégories : asymptomatiques, infection des voies respiratoires supérieures (IVRS) lorsqu'ils présentent une rhinite, une pharyngite ou une fièvre et une myalgie isolées de faible intensité, et infections des voies respiratoires inférieures (IVRI) lorsqu'ils présentent des symptômes de pneumonie ou de bronchite.

2.6. Test PCR
L'ARN du SRAS-CoV-2 a été évalué par transcription inverse en temps réel par PCR [17].

2.7. Dosage de l'hydroxychloroquine
L'hydroxychloroquine native a été dosée à partir d'échantillons de sérum de patients par UHPLC-UV selon un protocole décrit précédemment [18]. Le pic du chromatogramme à 1,05 min de rétention correspond au métabolite de l'hydroxychloroquine. La concentration sérique de ce métabolite est déduite de l'absorption des UV, comme pour la concentration d'hydroxychloroquine. La prise en compte des deux concentrations permet d'estimer la concentration sérique initiale d'hydroxychloroquine.

2.8. Culture
Pour tous les patients, 500 µl du liquide recueilli à partir de l'écouvillon nasopharyngé ont été passés à travers un filtre centrifuge de 0,22 µm de pores (Merck millipore, Darmstadt, Allemagne), puis ont été inoculés dans des puits de microplaques de culture de 96 puits, dont 4 puits contenaient des cellules Vero E6 (ATCC CRL-1586) dans un milieu de culture Minimum Essential Medium avec 4% de sérum de veau fœtal et 1% de glutamine. Après centrifugation à 4 000 g, les microplaques ont été incubées à 37°C. Les plaques ont été observées quotidiennement pour détecter tout signe d'effet cytopathogène. La détection présomptive du virus dans le surnageant a été effectuée à l'aide du MEB SU5000 (Hitachi) puis confirmée par RT-PCR spécifique.

2.9. Résultat
Le principal critère d'évaluation était la clairance virologique au sixième jour après l'inclusion. Les résultats secondaires étaient la clairance virologique au fil du temps pendant la période d'étude, le suivi clinique (température corporelle, fréquence respiratoire, durée du séjour à l'hôpital et mortalité) et l'apparition d'effets secondaires.

(A suivre)
totoleheron
(Suite/traduction de l'étude préliminaire)

Dans cette suite on peut voir le détail des patients qui sont sortis de l'étude et les raisons pour lesquelles ils n'ont pas pu prendre le traitement pendant les 6 jours.

Des médecins malhonnêtes ont accusé les équipes de l'IHU d'avoir volontairement retiré ces patients alors que la volonté des équipes n'était pas en cause, les patients n'ont tout simplement pas pu poursuivre pour diverses raisons le protocole jusqu'au bout.

2.10. Statistiques
En supposant une efficacité de 50% de l'hydroxychloroquine pour réduire la charge virale au jour 7, une puissance de 85%, un taux d'erreur de type I de 5% et une perte de suivi de 10%, nous avons calculé qu'un total de 48 patients COVID-19 (c'est-à-dire 24 cas dans le groupe hydroxychloroquine et 24 dans le groupe témoin) serait nécessaire pour l'analyse (Fleiss avec CC). Les différences statistiques ont été évaluées par le chi carré de Pearson ou les tests exacts de Fisher en tant que variables catégorielles, selon le cas. Les moyennes des données quantitatives ont été comparées à l'aide du t-test de Student. Les analyses ont été effectuées dans la version 14.2 de Stata.

3. Résultats (les résultats détaillés sont disponibles dans le tableau supplémentaire 1)
3.1. Démographie et présentation clinique
Nous avons enrôlé dans cette étude 36 des 42 patients répondant aux critères d'inclusion et qui avaient au moins six jours de suivi au moment de la présente analyse. Au total, 26 patients ont reçu de l'hydroxychloroquine et 16 étaient des patients témoins. Six patients traités à l'hydroxychloroquine ont été perdus de vue lors du suivi pendant l'enquête en raison de l'arrêt précoce du traitement. Les raisons sont les suivantes : trois patients ont été transférés à l'unité de soins intensifs, dont un transféré le jour 2 après l'inclusion qui était PCR-positif le jour 1, un transféré le jour 3 après l'inclusion qui était PCR-positif les jours 1 et 2 et un transféré le jour 4 après l'inclusion qui était PCR-positif le jour 1 et le jour 3 ; un patient est décédé le troisième jour suivant l'inclusion et était négatif au test PCR le deuxième jour ; un patient a décidé de quitter l'hôpital le troisième jour suivant l'inclusion et était négatif au test PCR les deux premiers jours ; enfin, un patient a arrêté le traitement le troisième jour suivant l'inclusion en raison de nausées et était positif au test PCR les deux premiers jours. Les résultats présentés ici sont donc ceux de 36 patients (20 patients traités à l'hydroxychloroquine et 16 patients témoins). Aucun des patients témoins n'a été perdu lors du suivi. Les données démographiques de base et l'état clinique sont présentés dans le tableau 1. Au total, 15 patients étaient de sexe masculin (41,7 %), avec un âge moyen de 45,1 ans. La proportion de patients asymptomatiques était de 16,7 %, celle des patients présentant des symptômes d'IVRS était de 61,1 % et celle des patients présentant des symptômes d'IVLR était de 22,2 %). Tous les patients présentant des symptômes d'IVRS avaient une pneumonie confirmée par CTScan. Les patients traités à l'hydroxychloroquine étaient plus âgés que les patients témoins (51,2 ans contre 37,3 ans). Aucune différence significative n'a été observée entre les patients traités à l'hydroxychloroquine et les patients témoins en ce qui concerne le sexe, l'état clinique et la durée des symptômes avant l'inclusion (tableau 1). Parmi les patients traités à l'hydroxychloroquine, six patients ont reçu de l'azithromycine (500 mg le jour 1, puis 250 mg par jour, les quatre jours suivants) pour prévenir la surinfection bactérienne sous contrôle quotidien par électrocardiogramme. Le suivi clinique et la survenue des effets secondaires seront décrits dans un autre article à la fin de l'essai.

(A suivre)
totoleheron
(Suite/traduction de l'étude préliminaire)


3.2. Dosage de l'hydroxychloroquine
La concentration moyenne d'hydroxychloroquine dans le sérum était de 0,46 µg/ml±0,2 (N=20).

3.3. Effet de l'hydroxychloroquine sur la charge virale
La proportion de patients ayant obtenu des résultats négatifs à la PCR dans les échantillons nasopharyngés différait sensiblement entre les patients traités et les témoins aux jours 3-4-5 et 6 après l'inclusion (tableau 2). Au jour 6 après l'inclusion, 70 % des patients traités à l'hydroxychloroquine étaient guéris par virologie, contre 12,5 % dans le groupe témoin (p = 0,001).

En comparant l'effet du traitement par l'hydroxychloroquine en tant que médicament unique et l'effet de l'hydroxychloroquine et de l'azithromyc en association, la proportion de patients ayant obtenu des résultats négatifs à la PCR dans des échantillons nasopharyngés était significativement différente entre les deux groupes aux jours 3-4-5 et 6 après l'inclusion (tableau 3). Au jour 6 après l'inclusion, 100 % des patients traités par l'association hydroxychloroquine et azithromycine étaient virologiquement guéris, contre 57,1 % chez les patients traités par l'hydroxychloroquine seule et 12,5 % dans le groupe de contrôle.


Ces résultats sont résumés dans la figure 1, figure 2. L'effet du médicament était significativement plus élevé chez les patients présentant des symptômes d'IVRS et d'IVLR, par rapport aux patients asymptomatiques avec p inférieur à 0,05 (données non présentées).

[A suivre]
totoleheron
(Suite/traduction de l'étude préliminaire)

Il convient de noter qu'une patiente qui était encore positive au PCR au jour 6 après l'inclusion sous traitement à l'hydroxychloroquine uniquement, a reçu de l'azithromycine en plus de l'hydroxychloroquine au jour 8 après l'inclusion et a guéri son infection au jour 9 après l'infection. En revanche, l'un des patients sous traitement combiné d'hydroxychloroquine et d'azithromycine qui a été testé négatif au jour 6 après l'inclusion a été testé positif à un faible titre au jour 8 après l'inclusion.

3.4. Cultures
Nous avons pu isoler le CoV-2 du SRAS dans 19 des 25 échantillons cliniques de patients.

4. Discussion
Pour des raisons éthiques et parce que nos premiers résultats sont si significatifs et évidents, nous décidons de partager nos conclusions avec la communauté médicale, étant donné le besoin urgent d'un médicament efficace contre le SRAS-CoV-2 dans le contexte actuel de pandémie.

Nous montrons ici que l'hydroxychloroquine est efficace pour éliminer le portage nasopharyngé viral du SRAS-CoV-2 chez les patients atteints de COVID-19 en seulement trois à six jours, chez la plupart des patients. Une différence significative a été observée entre les patients traités à l'hydroxychloroquine et les témoins dès le troisième jour suivant l'inclusion. Ces résultats sont d'une grande importance car un article récent a montré que la durée moyenne de l'excrétion virale chez les patients souffrant de COVID-19 en Chine était de 20 jours (voire 37 jours pour la durée la plus longue) [19].

Très récemment, une équipe chinoise a publié les résultats d'une étude démontrant que la chloroquine et l'hydroxychloroquine inhibent le SRAS-CoV-2 in vitro, l'hydroxychloroquine (CE50=0,72%µM) s'avérant plus puissante que la chloroquine (CE50=5,47%µM) [14]. Ces résultats in vitro corroborent nos résultats cliniques. Les valeurs cibles indiquées dans cet article [14] ont été atteintes lors de nos expériences. Le profil de toxicité dose-dépendant plus sûr de l'hydroxychloroquine chez l'homme, comparé à celui de la chloroquine [13], permet d'utiliser des doses cliniques d'hydroxychloroquine qui seront supérieures à la CE50 observée in vitro [14].

Nos résultats préliminaires suggèrent également un effet synergique de la combinaison de l'hydroxychloroquine et de l'azithromycine. Il a été démontré que l'azithromycine est active in vitro contre les virus Zika et Ebola [20], [21], [22] et qu'elle prévient les infections graves des voies respiratoires lorsqu'elle est administrée à des patients souffrant d'une infection virale [23]. Cette découverte devrait être approfondie pour savoir si une combinaison est plus efficace, en particulier dans les cas graves. Le risque potentiel spéculatif d'allongement grave de l'intervalle QT induit par l'association des deux médicaments n'a pas encore été établi mais doit être pris en considération. Comme pour chaque traitement, le rapport coût-bénéfice du risque doit être évalué individuellement. D'autres études sur cette association sont nécessaires, car cette combinaison peut à la fois agir comme thérapie antivirale contre le SRAS-CoV-2 et prévenir les surinfections bactériennes.

La cause de l'échec du traitement à l'hydroxychloroquine doit être recherchée en testant les souches isolées de SRAS-CoV-2 des non-répondants et en analysant leur génome, ainsi qu'en analysant les facteurs de l'hôte qui peuvent être associés au métabolisme de l'hydroxychloroquine. L'existence d'une défaillance de l'hydroxychloroquine chez deux patients (mère et fils) est plus suggestive du dernier mécanisme de résistance.

De tels résultats sont prometteurs et ouvrent la possibilité d'une stratégie internationale aux décideurs pour lutter en temps réel contre cette infection virale émergente, même si d'autres stratégies et recherches, y compris le développement de vaccins, pourraient également être efficaces, mais seulement dans le futur. Nous recommandons donc que les patients atteints de COVID-19 soient traités avec de l'hydroxychloroquine et de l'azithromycine pour guérir leur infection et limiter la transmission du virus à d'autres personnes afin de freiner la propagation de COVID-19 dans le monde. D'autres travaux sont également justifiés pour déterminer si ces composés pourraient être utiles en chimioprophylaxie pour prévenir la transmission du virus, en particulier pour les travailleurs de la santé. Notre étude présente certaines limites, notamment la petite taille de l'échantillon, le suivi limité des résultats à long terme et l'abandon de six patients, mais dans le contexte actuel, nous pensons que nos résultats devraient être partagés avec la communauté scientifique.

[FIN]
totoleheron
Maintenant on peut discuter sans raconter n'importe quoi.
CTDP
  • CTDP
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  • MP
Question ce soir au Pr Salomon ( lors de son point quotidien ) en ce moment même :

Grosse gêne du Pr Salomon lorsque la question lui a été posé sur l'achat de l'hydroxychloroquine par l'armée.

réponse très sèche et hyper contrariée de Salomon :
" je n'ai pas à commenter les décisions prises par l'armée."

Comme aurait dit Thierry, ça sent le pâté du côté de Salomon, déroute sur les masques, sur les tests, sur les respirateurs inadaptés, sur les traitements, ce Professeur et son entourage ( Véran, Buzyn, ) vont devoir s'entourer de juristes de choc pour éviter les Assises.

Philippe Devilliers aurait le fin mot sur la chose, dans un interview donné à BFMTV, il a déclaré qu'il était en contact avec des ministres, qu'ils sont déjà complètement tétanisés par les procès qu'ils vont devoir affrontés, autrement dit, les ministres, les autorités sanitaires Françaises, savent qu'ils ont complètement foiré.

Pas de déni de Salomon sur l'efficacité de cette antiviral, s'opposer à l'armée, c'est une autre paire de manche que s'opposer au Pr Raoult,

En manque de molécules, ils ont fait vertu nécessité, l'affaire de ce traitement n'est qu'une répétition de l'affaire des masques, ne possédant pas les médicaments, on adapte un discours pseudo scientifique.

Raoult doit savourer.
Biosmog
totoleheron a écrit :
Biosmog a écrit :
En plus sans groupe témoins, les patients de Raoult effectuant les prélèvements de test eux-mêmes (encore un truc incroyable...), le nombre de négatifs doit être énorme.


Faux, les patients se sont présentés tous les jours pendant 14 jours pour subir un examen et si possible un prélèvement.

Cela a été filmé et ça a évidemment ému la communauté scientifique. Les personnes sont sur place, effectivement, mais le prélèvement, qui est loin d'être évident à pratiquer sur soi, est fait par la personne elle-même. Ce qu'il y a d'incroyable avec Raoult, c'est quel que soit l'endroit où tu regardes, c'est "quick and dirty".
Vous battez pas, je vous aime tous
totoleheron
Biosmog a écrit :
totoleheron a écrit :
Biosmog a écrit :
En plus sans groupe témoins, les patients de Raoult effectuant les prélèvements de test eux-mêmes (encore un truc incroyable...), le nombre de négatifs doit être énorme.


Faux, les patients se sont présentés tous les jours pendant 14 jours pour subir un examen et si possible un prélèvement.

Cela a été filmé et ça a évidemment ému la communauté scientifique. Les personnes sont sur place, effectivement, mais le prélèvement, qui est loin d'être évident à pratiquer sur soi, est fait par la personne elle-même. Ce qu'il y a d'incroyable avec Raoult, c'est quel que soit l'endroit où tu regardes, c'est "quick and dirty".

Source? Elle est où cette preuve éblouissante?

Tu remets donc en cause la description dans le pre-print. Elle serait fausse d'après toi.
Biosmog
totoleheron a écrit :
Biosmog a écrit :
totoleheron a écrit :
Biosmog a écrit :
En plus sans groupe témoins, les patients de Raoult effectuant les prélèvements de test eux-mêmes (encore un truc incroyable...), le nombre de négatifs doit être énorme.


Faux, les patients se sont présentés tous les jours pendant 14 jours pour subir un examen et si possible un prélèvement.

Cela a été filmé et ça a évidemment ému la communauté scientifique. Les personnes sont sur place, effectivement, mais le prélèvement, qui est loin d'être évident à pratiquer sur soi, est fait par la personne elle-même. Ce qu'il y a d'incroyable avec Raoult, c'est quel que soit l'endroit où tu regardes, c'est "quick and dirty".

Source? Elle est où cette preuve éblouissante?

Tu remets donc en cause la description dans le pre-print. Elle serait fausse d'après toi.


Je pense que tu interviens un peu tard. Ce sont des choses qui ont circulé il y a deux semaines. Mais aujourd'hui, la grande question, c'est comment va réagir Raoult à une accumulation de signes qui indiquent qu'il s'est, dans le meilleur des cas, trompé.

https://www.sciencesetavenir.f(...)43764

Citation:
Les doses qu'il faudrait utiliser pour atteindre l'efficacité supposée de l'hydroxychloroquine sont tellement énormes, qu'elle tuerait les patients à coup sûr"


Ce qui explique pourquoi ce médicament marche toujours in vitro, et jamais in vivo.
Vous battez pas, je vous aime tous
Khryss
Vous êtes fatiguant...vous voulez pas vous retrouver pour construire un autel à la gloire de votre sauveur et de sa solution miracle!

Au lieu de bouffer des osties vous pourriez prendre 2 plaquettes de chloroquine.

On est pas loin du fanatisme religieux là...

En ce moment sur backstage...