Planter un truc, même modeste, le voir sortir de terre, pousser, puis le récolter et le bouffer (ou pas), c'est quand même une émotion. Si on se prend au jeu, on finit même devant le potager à juste "regarder pousser"
Il y a une éloge de la lenteur là-dedans, en plus on fait un geste ancestral, ça crée une connexion je trouve.
pakalolo a écrit :
mais si je pouvais récolter une poignée de haricots et de quoi me faire une salade tomates mozza, ce serait parfait !
Marrant, j'ai chopé le virus le jour où j'ai récolté du basilic sur un appui de fenêtre pour le mettre dans une salade tomate/mozza!